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FOG a récemment exprimé son indignation face à la complaisance des médias français en matière d’islamisation, une critique particulièrement pertinente dans le contexte actuel de la liberté d’expression en Algérie. Cette situation met en lumière des tensions croissantes au sein de la société française concernant l’identité et les valeurs.
Un appel à la résistance
Dans une lettre adressée à Boualem Sansal, un écrivain franco-algérien connu pour son courage et sa franchise, l’auteur exprime ses excuses et son admiration. Il reconnaît les difficultés à croire aux affirmations de Sansal, qui dénonce depuis longtemps l’islamisme croissant en France. L’auteur de la lettre souligne que la réalité d’une partie de la France est en effet marquée par une islamisation rapide, aidée par des relais médiatiques.
Analogies historiques
FOG fait référence aux « néocollabos » du présent, en les comparant aux pétainistes des années 1940. Ces groupes dénoncent ceux qui, comme Sansal, osent s’opposer à cette tendance. Le climat actuel rappelle les périodes sombres de l’histoire où la liberté de pensée était sévèrement réprimée.
Critiques des médias
Des médias tels que *Le Monde* et *Télérama* sont accusés de relayer des thèses de la dictature algérienne tout en dénigrant les voix dissidentes. Un article de *Télérama* a ainsi affirmé que le discours de Sansal et de son ami Kamel Daoud les a transformés en « héros de la droite et de l’extrême droite », insinuant une collusion inacceptable avec ces courants politiques.
Un héritage troublant
La relation entre les médias français et les idéologies totalitaires est mise en avant à travers l’héritage d’Hubert Beuve-Méry, le fondateur du *Monde*. Son ambivalence face aux totalitarismes alimente la discussion sur la responsabilité des médias dans la formation de l’opinion publique.
Une préoccupation croissante
FOG souligne que la situation actuelle de Boualem Sansal, qui fait face à de graves accusations, reflète un danger imminent pour la liberté d’expression. Les attaques répétées contre les voix critiques sont un signe alarmant des défis auxquels sont confrontés ceux qui défendent des valeurs de liberté en Algérie et en France.
