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Julian Lennon, photographe et fils du célèbre Beatle, a récemment publié un livre captivant où il partage les images les plus marquantes de ses vingt ans de carrière. Pour la couverture, il a choisi un portrait de la princesse Charlène de Monaco, réalisé juste avant son mariage avec le prince Albert, le 1er juillet 2011, dans le principauté.
Les moments de panique de la princesse
À peine quelques minutes avant la cérémonie, Charlène a confié à Lennon, un ami proche, : « Jules, je ne sais pas si je peux faire ça. » La princesse, visiblement nerveuse, a eu un moment de véritable anxiété. Elle était assise, se regardant dans le miroir, lorsqu’elle lui a déclaré : « Je ne peux pas le faire, je ne suis pas sûre de pouvoir prendre des photos, il y a trop de distractions. »
Un travail sous pression
Julian Lennon a insisté pour être simplement « une mouche sur le mur » pendant ce moment historique. Bien qu’il n’ait eu que dix minutes pour capturer ces souvenirs, il a réussi à saisir l’essence de l’événement. Parmi les centaines de photographies qu’il a prises, une a particulièrement retenu son attention, celle qui est devenue la couverture de son livre intitulé Momentos frágiles de la vida.
Les pleurs de la mariée
Les émotions de la princesse étaient palpables durant la cérémonie, où elle a prononcé son oui à Albert II. Beaucoup ont commenté que ses larmes semblaient exprimer plus de tristesse que de joie. Cependant, Charlène a souvent démenti ces interprétations. « J’étais tellement épuisée… Quand nous avons échangé les anneaux, j’étais si nerveuse que je lui ai mis sur la mauvaise main », a-t-elle partagé, ajoutant que le prince lui avait gentiment rappelé : « Chérie, c’est cette main. »
Des rumeurs de fuite
Charlène a également abordé les rumeurs qui circulaient concernant un prétendu désir de fuir quelques jours avant la cérémonie. « Ils ont dit que je m’en fuyais. Où aurais-je pu aller ? Sur la face cachée de la lune ? » Elle a fait remarquer à quel point la pression était énorme pour elle et Albert, expliquant qu’il est difficile pour quiconque de l’extérieur de comprendre la situation stressante à laquelle ils faisaient face.