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Le Roi Charles a-t-il fait preuve d’autosatisfaction en économisant une somme considérable pour le gouvernement australien lors de sa visite royale ? Les coûts de son tour en Australie en octobre dernier s’élevaient à 326 000 $, soit près d’un million d’euros de moins que le dernier voyage de sa défunte mère en 2011.
Des critiques sur les frais de déplacement
Cependant, certains Australiens se montrent ingrats et s’alarment des 33 000 £ dépensés pour les vols en classe affaires d’un groupe envoyés par Buckingham Palace en juin afin de préparer la visite. Grâce à la loi sur la liberté d’information, ces coûts ont été révélés. Brian Marlow, de l’Alliance des contribuables australiens, a qualifié ces dépenses de « futiles ». Il a déclaré : « Le gouvernement n’a pas besoin de débourser l’argent d’autrui pour faire venir des aides de Buckingham Palace alors qu’un simple appel Zoom suffirait. »
Un roi attentif aux sentiments français
Le Roi Charles III, soucieux de ne pas froisser les sentiments français, aurait recommandé le changement de nom du HMS Agincourt, suivant ainsi les traces de sa mère, qui en 2004 avait organisé un banquet à Windsor en l’honneur du président français Jacques Chirac, pour célébrer les 100 ans de l’Entente Cordiale. À l’époque, la reine Elizabeth avait découvert que l’événement se tenait dans la salle de Waterloo, peu amicale. Elle avait donc demandé à ce qu’elle soit renommée « La Salle de Musique – pour une nuit seulement ».
Des célébrités et des défis variés
Dans une autre sphère médiatique, l’ex-politicien Nigel Farage a partagé comment il a surmonté sa peur des araignées et des serpents lors de son passage dans l’émission « I’m A Celebrity… ». Il a révélé avoir consulté le célèbre hypnotiseur Paul McKenna, qui lui a enseigné des techniques pour gérer ses angoisses, et cela a été efficace.
De même, Rageh Omaar, récemment absent de l’antenne d’ITV après avoir subi un léger AVC lors d’une diffusion, a effectué son retour en présentant un reportage sur la rébellion en République Démocratique du Congo.
Des anecdotes de présentateurs
De son côté, la présentatrice Emma Barnett, de Radio 4, a amusé ses auditeurs en annonçant qu’elle avait présenté son émission pour la première fois sans chaussures, expliquant que ses bottes étaient encore mouillées. Elle a assuré que, malgré cela, elle portait des chaussettes.
Dans le domaine de l’édition, Christopher Sinclair-Stevenson, décédé à 85 ans, avait su attirer l’attention lors du lancement de sa propre maison d’édition en 1989 en révélant que sa secrétaire, Sarah Johnson, était la maîtresse de Leo, le mari de l’auteure Jilly Cooper. Cela avait attiré un public nombreux pour l’événement.