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Près de trois ans après l’invasion de l’Ukraine par les forces armées russes de Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky peut-il compter sur le soutien de ses alliés occidentaux ? * »Nous sommes prêts à renforcer notre soutien à l’Ukraine. Nous nous sommes engagés en faveur de son indépendance, de sa souveraineté et de son intégrité territoriale face à la guerre d’agression de la Russie, »* a déclaré le ministère des Affaires étrangères français dans une déclaration commune, le 12 février, à l’issue d’une réunion à Paris.
Réunion des ministres européens des Affaires étrangères
Ce communiqué a été émis après une rencontre qui a rassemblé des représentants de la France, de l’Allemagne, de la Pologne, de l’Italie, de l’Espagne, du Royaume-Uni, de l’Ukraine, ainsi que le haut-représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et des membres de la Commission européenne.
Appel à renforcer les garanties de sécurité
Dans le contexte d’une * »paix juste, globale et durable »* qui est recherchée pour l’Ukraine, il semble que les États-Unis aient pris une avance significative pour mettre fin au conflit. Donald Trump a évoqué un * »cessez-le-feu »* potentiel en Ukraine * »dans un futur pas si lointain, »* après avoir discuté avec ses homologues russe et ukrainien. Selon ses déclarations, des négociations pourraient débuter * »immédiatement, »* et il a annoncé une rencontre avec Vladimir Poutine en Arabie Saoudite.
Inclusion de l’Ukraine dans les négociations
Dans ce cadre, le Quai d’Orsay a souligné l’importance d’inclure Kiev dans les discussions futures : * »L’Ukraine et l’Europe doivent participer à toute négociation. L’Ukraine doit bénéficier de solides garanties de sécurité. Une paix juste et durable en Ukraine est une condition nécessaire à une sécurité transatlantique forte, »* a ajouté le communiqué, avant la conférence de Munich prévue pour vendredi, en présence du vice-président américain, J.D. Vance.