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Des juges américains ont rendu des verdicts nuancés dans deux affaires concernant Meta et Anthropic, accusés d’utiliser illégalement des millions d’œuvres pour entraîner leurs modèles d’intelligence artificielle. Ce sujet, devenu crucial pour le monde de l’édition à l’heure des assistants conversationnels, soulève des enjeux importants autour des droits d’auteur.
Les Décisions de la Justice Américaine
À seulement deux jours d’intervalle, la justice américaine a partiellement donné raison à Meta et à la start-up Anthropic, connue pour son chatbot Claude, qui faisaient face à des accusations de la part d’écrivains mécontents de voir leurs droits d’auteur bafoués. Ces décisions sont perçues comme une victoire symbolique pour ces géants de l’IA.
Réactions des Entreprises
« Nous sommes reconnaissants de la décision d’aujourd’hui », a déclaré un porte-parole de Meta. De son côté, Anthropic a exprimé sa satisfaction en affirmant que « le juge a reconnu qu’utiliser des travaux pour entraîner les grands modèles était source d’innovation ». Malgré les preuves jugées indiscutables du piratage d’œuvres protégées, le tribunal a choisi de statuer en faveur de Meta.
Implications pour le Futur
Ces verdicts soulèvent des questions profondes sur la manière dont les entreprises technologiques utilisent les œuvres protégées et le rôle des droits d’auteur dans le développement de l’intelligence artificielle. Alors que l’industrie continue d’évoluer rapidement, le débat entre innovation et protection des droits d’auteur reste au cœur des préoccupations.