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Agnès Ledig dénonce la loi Duplomb : un cri de douleur pour ses enfants

by Sara
Agnès Ledig dénonce la loi Duplomb : un cri de douleur pour ses enfants
France

Agnès Ledig, romancière à succès ayant vendu trois millions d’exemplaires, s’est récemment exprimée avec émotion sur Instagram au sujet de la loi Duplomb, en partageant une photo de son fils décédé d’une leucémie à l’âge de 5 ans. Dans un message puissant, elle invite les élus ayant voté cette loi à « bien regarder ces deux grands yeux bleus », soulignant les conséquences dévastatrices de cette législation.

Un cri d’alarme poignant

Alors que la pétition contre la loi Duplomb atteint presque un million de signatures, Agnès Ledig a lancé un appel déchirant. Elle déclare : « AUX ÉLU (E) S QUI ONT VOTÉ LA LOI DUPLOMB. Regardez bien ces deux grands yeux bleus. Ceux de notre fils, morts d’une leucémie à l’âge de 5 ans et demi sans que PERSONNE n’en cherche les causes. Regardez ces deux grands yeux bleus et pensez à tous les enfants sur lesquels, en votant cette loi mortifère, vous installez une épée de Damoclès. »

Agnès Ledig dénonce la loi Duplomb

Une auteure engagée

Agnès Ledig, parmi les écrivains les plus lus en France, a entrepris d’écrire pour surmonter sa douleur suite à la perte de son fils. Son roman « Juste avant le bonheur », paru en 2013, l’a propulsée vers le succès. Dans son message, elle interpelle les députés : « Vous avez applaudi, vous vous êtes réjouis quand la loi a été adoptée et vous avez transformé mon chagrin en rage. »

Les dangers de la loi Duplomb

Dans son post, elle souligne la gravité de la situation : « Comment pouvez-vous décemment vous réjouir de voter en pleine conscience une loi qui détruit la vie ? » Agnès Ledig, qui a récemment sorti un roman plaidoyer pour l’écologie intitulé « Répondre à la nuit », affirme que le vote de cette loi est une « décision criminelle », mettant en lumière les risques pour la population liés à la réintroduction de l’acétamipride.

Une douleur incommensurable

Dénonçant les « décisions ignobles » des élus, Agnès Ledig rappelle que la perte d’un enfant engendre une peine éternelle. Elle conclut son message en partageant son chagrin : « Regardez ces deux grands yeux bleus, nous venons de déposer des fleurs au cimetière. Aujourd’hui 20 juillet 2025, notre fils aurait dû avoir 25 ans. »

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