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Depuis 2015, année marquante avec l’annonce de la candidature de celui dont on ne prononce pas le nom, les médias inondent le public d’informations le concernant : scandales, frasques et autres controverses. Une telle couverture médiatique était, au départ, compréhensible, compte tenu de la personnalité explosive du candidat, devenu plus tard président des États-Unis.
Une couverture répétitive et anxiogène
Actuellement, il est devenu courant dans les émissions d’information de diffuser en boucle des extraits illustrant les bourdes de ce personnage, tandis que des experts essaient de démêler le vrai du faux. Cette approche, initialement perçue comme un manque de professionnalisme, s’est transformée en un véritable harcèlement médiatique. Les images et vidéos montrant ce personnage en gros plan sont devenues une source de malaise pour de nombreux citoyens, engendrant anxiété et frustration.
Un appel à la responsabilité des médias
Face à cette situation, il est crucial que les médias prennent conscience de l’impact de leur couverture sur la santé publique. Je lance donc un appel à tous les médias : il est impératif de bannir les images et vidéos où apparaît ce personnage. Si vous devez absolument montrer son image, envisagez de flouter son visage, à l’instar des pratiques utilisées pour protéger l’identité de victimes innocentes ou de mineurs. Cette mesure vise à préserver la santé mentale des citoyens, car même l’audio de sa voix peut susciter un fort dégoût.
Importance de la santé mentale
La santé mentale est un enjeu crucial. La répétition constante de ces contenus dégradants ne peut qu’aggraver l’état psychologique de nombreux individus. C’est pourquoi il est essentiel que les médias prennent des mesures concrètes pour protéger le bien-être des citoyens. En réduisant l’exposition à ces contenus nuisibles, nous pouvons contribuer à un environnement médiatique plus sain.
Je vous remercie de votre collaboration.