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Dans l’affaire des assistants parlementaires du Front national, Marine Le Pen est de nouveau au cœur d’une procédure judiciaire. Le procès en appel est annoncé pour 2026, avec des plages de dates publiées par différents médias et des divergences entre les sources. Selon Le Monde, le calendrier évoqué est du 13 janvier au 12 février 2026; Sud Ouest assure le même début mais précise une fin au 11 février; Centre Presse Aveyron recense aussi la période du 13 janvier au 12 février 2026, sans autre précision majeure. Ces incertitudes illustrent les aléas procéduraux qui entourent ce dossier.
Dates du procès en appel et divergences entre sources
Les reportages indiquent des intervalles similaires mais non identiques. Selon Le Monde, le procès se tiendra du 13 janvier au 12 février 2026. Sud Ouest assure le même début mais avance la fin au 11 février. Centre Presse Aveyron recense aussi la période du 13 janvier au 12 février 2026, sans autre précision majeure.
- Le Monde: 13 janvier – 12 février 2026
- Sud Ouest: 13 janvier – 11 février 2026
- Centre Presse Aveyron: 13 janvier – 12 février 2026
Contexte et condamnation précédente
Pour replacer le contexte, l’affaire porte sur le détournement présumé de fonds publics via des salariés du Parlement européen entre 2004 et 2016. Dans la première instance, Marine Le Pen a été condamnée à quatre ans de prison dont deux ferme, assortie d’une amende de 100 000 euros et d’une peine d’inéligibilité de cinq ans.
Des condamnations similaires touchent plusieurs proches du dossier, et onze prévenus restent sous le coup des accusations. Le procès en appel vise à réexaminer ces éléments et les responsabilités des élus et de Marine Le Pen.
Impacts et calendrier pour 2027
Les acteurs du droit public notent que la suite pourrait influencer le paysage politique, notamment les ambitions présidentielles de Marine Le Pen. Si l’appel confirme une culpabilité, les répercussions pourraient peser sur ses chances en 2027; en cas d’acquittement partiel ou d’annulations, le contexte électoral pourrait évoluer différemment.
Cette affaire rappelle la durée des procédures pénales et la persistance des questions autour du financement des groupes parlementaires et de leurs salariés.