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Des déclarations sur les sanctions contre la Russie relancent le débat sur l’énergie et la sécurité européenne. Donald Trump affirme être prêt à imposer des sanctions majeures, à condition que tous les pays de l’OTAN cessent d’acheter du pétrole russe. « Je suis prêt à prendre des sanctions significatives contre la Russie, à partir du moment où tous les pays de l’Otan l’auront également décidé et quand tous les pays de l’Otan auront ARRÊTÉ D’ACHETER DU PÉTROLE A LA RUSSIE », a écrit Donald Trump sur Truth Social. La mise en garde survient au moment où l’OTAN renforce son attention sur les flux énergétiques et les exercices militaires de la Russie et de la Biélorussie. Plusieurs articles résument ce dossier complexe, où les dissensions entre les alliés restent notables, notamment autour des pays qui se font encore livrer du pétrole russe.

Trump et l’OTAN: le pivot pétrole russe
Donald Trump affirme être prêt à imposer des sanctions majeures à Moscou, mais sous condition que l’Otan agisse collectivement sur l’approvisionnement énergétique.
« Je suis prêt à prendre des sanctions significatives contre la Russie, à partir du moment où tous les pays de l’Otan l’auraient également décidé et quand tous les pays de l’Otan auront ARRÊTÉ D’ACHETER DU PÉTROLE A LA RUSSIE », a écrit Donald Trump sur Truth Social.
Réaction de l’OTAN et des pays européens à la dépendance énergétique
Depuis l’invasion de l’Ukraine, l’Union européenne a interdit la plupart des importations maritimes de pétrole russe, dans le cadre d’un durcissement des sanctions. Seul l’oléoduc Druzhba était provisoirement exempté pour laisser le temps à certains États européens de s’adapter.
Selon le président américain, deux pays membres de l’alliance continuent d’acheter du pétrole à la Russie, renforçant ses capacités économiques : la Slovaquie et la Hongrie. L’enjeu demeure profond pour les pays européens, qui dépendent encore en partie des livraisons russes malgré les efforts d’évacuation et de diversification.
Contexte du conflit et implications diplomatiques
Trois ans et demi après le début de l’invasion russe de l’Ukraine, les combats et les frappes se poursuivent sans relâche. Le Kremlin a estimé vendredi que les négociations de paix avec Kiev étaient en « pause », le président ukrainien assurant pour sa part que l’objectif de son homologue russe restait d’« occuper toute l’Ukraine ».
Le contexte est également marqué par des tensions militaires, avec des exercices russo-biélorusses et des incursions de drones en Pologne qui ont renforcé le sentiment d’un front est sous surveillance. Dans ce cadre, les discussions diplomatiques peinent à reprendre et l’issue du conflit reste incertaine.