Table of Contents
La Ryder Cup 2025, Bethpage, meilleures mises, golf, États-Unis, Europe arrive à Bethpage Black avec 28 points en jeu ; cet article présente les meilleures mises et les principaux arguments pour les équipes américaine et européenne, avec les sélections verrouillées par Taft Gantt après une saison à +46 unités.
Ryder Cup 2025, Bethpage, meilleures mises, golf, États-Unis, Europe : les choix principaux
Vingt‑huit points seront disputés lors de cette édition 2025, et chaque match comptera. Taft Gantt, auteur d’une saison profitant de +46 unités, a publié ses paris pour Bethpage Black. Voici les trois recommandations clés, avec les motifs techniques et les probabilités affichées par les opérateurs cités.
Tommy Fleetwood — meilleur marqueur anglais (+135, FanDuel)
Fleetwood est présenté comme le joueur favori côté européen — et « leur arme la plus importante ». Fraîchement sacré au Tour Championship, il arrive avec de la confiance et le soutien du public. Sa cote pour devancer les autres Anglais Matt Fitzpatrick, Tyrrell Hatton et Justin Rose est de +135 chez FanDuel.
Les éléments en sa faveur mentionnés : Fitzpatrick est 0‑5 en Ryder Cups disputées sur le sol américain, Hatton a un tempérament qui peut poser problème à New York, et Rose, à 45 ans, pourrait manquer d’endurance pour enchaîner plusieurs sessions sur une même journée. Fleetwood est le seul de ce quatuor susceptible de participer aux cinq matchs ; il est aussi invaincu 4‑0 en foursomes et fait partie des trois Européens de l’équipe — avec Rory McIlroy et Viktor Hovland — ayant l’expérience d’un programme complet de cinq rencontres.
Russell Henley — top 3 des marqueurs américains (+240, DraftKings)
Henley est décrit comme peut‑être le joueur le plus sous‑estimé de l’équipe américaine, mais dont le jeu colle parfaitement au format de la Ryder Cup. Il a terminé quatrième sur le Tour en Total Strokes Gained, grâce notamment à une précision de drivings et un talent d’échappée (scrambling) élevés — deux qualités idéales en foursomes et four‑ball.
Keegan Bradley devrait s’appuyer sur ces atouts et lui offrir un programme chargé. Henley pourrait être associé au n°1 mondial Scottie Scheffler, comme cela s’est produit à trois reprises lors de la Presidents Cup l’an dernier. En évitant probablement en simple le « big three » européen (McIlroy, Jon Rahm et Fleetwood), Henley dispose d’un parcours plausible pour finir dans le top 3 des marqueurs américains.
Les États‑Unis pour soulever le trophée (-145, DraftKings)
Parmi les pronostics globaux, l’option « USA soulèvent le trophée » est cotée à -145 chez DraftKings. L’argument principal repose sur le leadership de Keegan Bradley et la progression collective de l’équipe américaine au fil de la saison.
Taft Gantt souligne l’émergence de joueurs inattendus : J.J. Spaun, Ben Griffin et Cam Young — tous débutants en Ryder Cup — qui peuvent poser problème à n’importe quel adversaire européen. À cela s’ajoutent la présence du n°1 mondial Scottie Scheffler, l’expérience de cadres comme Justin Thomas et Patrick Cantlay, et l’impact du public new‑yorkais, facteurs que Gantt juge suffisants pour contrecarrer l’expérience européenne et la déception vécue à Rome en 2022.
Call it a homer pick but there’s something about this Keegan Bradley-led team that tells me losing in New York is not an option.
Si les États‑Unis entrent dimanche même avec seulement une part de l’avantage, Gantt anticipe une domination en simples aboutissant à un score projeté de 16,5‑11,5 en faveur des hôtes — une estimation figurant dans son exposé des scénarios possibles.
Arguments techniques et scénarios de match à Bethpage
Les sélections présentées s’appuient principalement sur des éléments techniques : la capacité à jouer plusieurs matchs dans la semaine, l’aptitude au jeu rapproché en foursomes, la précision au drive et le scrambling, ainsi que les appariements probables en simples. Ces facteurs déterminent l’intérêt relatif des « props » et des paris par joueur.
- Importance des foursomes : Fleetwood 4‑0 en foursomes, atout pour l’Europe.
- Driving accuracy et scrambling : points forts de Russell Henley, utiles en match‑play par équipes.
- Effet domicile : l’enthousiasme du public new‑yorkais est cité comme levier pour les États‑Unis.
- Matchups en simples : éviter les têtes d’affiche européennes peut favoriser des joueurs comme Henley.
Les paris cités conservent des cotes spécifiques indiquées par les opérateurs mentionnés dans les sélections : +135 (FanDuel) pour Fleetwood, +240 (DraftKings) pour Henley et -145 (DraftKings) pour la victoire américaine. Les parieurs doivent garder à l’esprit que ces cotes peuvent évoluer jusqu’au coup d’envoi et que la composition exacte des paires influencera fortement les résultats.