Table of Contents
Le Bayeux des correspondants de guerre a dévoilé ses lauréats lors de sa 32e édition en France, mettant en lumière des reportages sur l’Ukraine, Gaza et le Soudan. Le photojournaliste palestinien Saher Alghorra, affilié à Zuma Press, est salué pour le premier prix photo des correspondants de guerre. Cette édition a été marquée par la reconnaissance du travail des envoyés spéciaux sur le terrain.
\n
\n\n
À Bayeux, Saher Alghorra décroche le premier prix
\n
Le lauréat est Saher Alghorra, photoreporter palestinien travaillant pour Zuma Press, qui reçoit le premier prix photo des correspondants de guerre. L’annonce a été faite lors de la cérémonie qui réunit journalistes et rédactions autour des reportages terrain. Selon les organisateurs, ce prix récompense la qualité d’observation et la capacité à rendre compte des réalités des conflits.
\n
Un palmarès dominé par les zones de conflit ukrainienne, gazaïenne et soudanaise
\n
Le jury souligne que l’édition met en lumière les conflits en Ukraine, à Gaza et au Soudan, avec des reportages qui témoignent des mobilisations humaines et des enjeux géopolitiques. Le récit photographique retenu illustre les enjeux de terrain et les conditions difficiles vécues par les journalistes sur place. La présence de ces régions au cœur du palmarès reflète l’actualité internationale du moment.
\n
Réactions et portée du prix pour le journalisme sur le terrain
\n
Cette distinction rappelle le rôle des correspondants de guerre dans l’information publique et la nécessité de protéger les journalistes sur le terrain. Les organisateurs évoquent la valeur du métier et l’importance de raconter les histoires des populations affectées. Le prix Bayeux demeure une vitrine du photojournalisme engagé et des défis réels rencontrés par les reporters en zones de conflit.