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Des observations récentes éclairent les mystères du ciel: la comète interstellaire 3I/Atlas a survolé notre planète la semaine dernière, offrant des indices sur sa composition et son origine. Selon les scientifiques, elle représente le troisième objet interstellaire détecté dans notre système solaire, avec des traces riches en CO2 et pauvres en fer. Par ailleurs, deux autres comètes visibles en octobre ont été observées grâce à des jumelles, soulignant l’intérêt croissant pour les objets cométaires venus d’ailleurs. Des modèles révisent aussi notre vision d’Uranus et Neptune, tandis que le nombre d’exoplanètes confirmées continue d’augmenter.

À propos de la comète interstellaire 3I/Atlas et son passage proche
La comète 3I/Atlas a franchi son passage le plus proche de la Terre la semaine dernière, et elle est décrite comme le troisième objet interstellaire détecté dans notre système solaire. Sa composition semble présenter davantage de CO2 et moins de fer par rapport aux comètes issues du Système solaire. Les chercheurs soulignent que ces observations, issues de divers observatoires, permettent de mieux comprendre la nature et l’origine de ces visiteurs venus d’ailleurs. Elles s’inscrivent dans un contexte d’observations soutenues par des équipes françaises et internationales.
Des comètes visibles en octobre et le ciel nocturne
En octobre, deux autres comètes, Lemmon et Swan, ont été visibles avec des jumelles, démontrant des conditions d’observation favorables et l’intérêt grandissant des astronomes amateurs. Le phénomène rappelle les campagnes d’observation qui accompagnent les grands événements célestes et les retours d’expérience des années récentes. Certaines données proviennent d’observations citoyennes et de réseaux professionnels, qui collaborent pour suivre ces objets en mouvement.
Révisions des modèles sur Uranus et Neptune et le décompte des exoplanètes
Des modèles théoriques récents remettent en question l’image traditionnelle d’Uranus et Neptune en tant que géantes de glace, suggérant qu’elles pourraient être plus rocheuses que prévu. Par ailleurs, les chercheurs notent que le nombre d’exoplanètes confirmées dépasse désormais 6 000, étoffant la cartographie des mondes extrasolaires et nourrissant les débats sur la formation des systèmes planétaires. Ces constats alimentent les discussions sur les variations de composition et de structure dans les confins du système solaire.