Table of Contents
Affrontements inutiles par des écrivains payés au service du sionisme
Dans le cadre de la tradition sécuritaire égyptienne, il s’agit de distraire le public avec une affaire marginale afin de masquer une décision ou une position politique importante concernant les intérêts et l’avenir des citoyens. Un exemple classique est l’affaire de l’actrice « Mimi Chakib », accusée de gérer sa maison à des fins immorales durant le conflit entre les partisans de Sadate et ceux de Nasser.
L’émergence de nouveaux scandales
À une époque ultérieure, sous Hosni Moubarak, le même stratagème a été utilisé, mais avec de nouveaux noms : les actrices Hanane Turk et Wafaa Amer, accusées de débauche. L’affaire a captivé le public et veillé à ce que les questions politiques comme la privatisation, la hausse des prix et les assassinats de civils en Haute-Égypte soient mises de côté.
Glissements vers la littérature et la religion
Quand cette tactique de scandale de célébrité s’est essoufflée, l’attention s’est tournée vers les écrivains et les chercheurs. Un exemple remarquable est celui de la polémique autour du roman « Banquet pour les algues de mer » par l’écrivain syrien Haidar Haidar. La publication de ce livre en Égypte a été utilisée pour détourner l’attention des problèmes plus urgents, déclenchant des manifestations d’étudiants d’Al-Azhar indignés par son contenu perçu comme blasphématoire.
Interventions médiatiques et divisions sociales
Certains acteurs du scénario sécuritaire incluaient des figures comme le cheikh salafiste Youssef Al-Badri, dont les critiques tardives à l’encontre de films anciens ont été manipulées pour distraire le public. Des journalistes comme Ibrahim Saada ont également joué un rôle clé en publiant des interviews polémiques dans une coordination réussie entre différents médias gouvernementaux.
Théories de division et provocation
Adopte des stratégies américaines de division pour semer la discorde, le dispositif sécuritaire a souvent mis en scène des débats polarisants pour diviser l’opinion publique. La tentative de dépeindre le sultan Saladin comme un tyran sanguinaire est un exemple frappant de ces opérations visant à semer la confusion sur des figures historiques largement respectées.
Des intellectuels sous influence
Des personnalités académiques, connues pour leurs recherches douteuses ou leur collaboration avec des agences de renseignement, ont souvent été utilisées pour promouvoir des récits qui divisent. L’un d’eux a remis en question l’existence de l’armée égyptienne dirigée par Ahmed Urabi en 1881, un événement bien documenté qui a affermi la place d’Urabi comme leader national.
Condamnation des écrivains payés
Les écrivains et chercheurs payés pour saper l’intégrité nationale et promouvoir des intérêts sionistes continuent de travailler à diviser et distraire le peuple. Cependant, ils seront jugés pour leurs actions néfastes envers la patrie, et le jour de la rétribution est proche.