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Plusieurs affaires d e9alertes enl e8vement illustrent les tensions entre s e9curit e9 publique et cadre proc e9dural en France. Khuslen, 3 ans, a vu l e9alerte lev e9e dans la matin e9e du 8 octobre, sans que l e9nfant ne soit retrouv e9. Dans une autre affaire, celle dfAlen e7on dans l fOrne, l e9alertes a pris fin et l e9nfant de 3 ans a e9t e9 retrouv e9, selon Le Monde. Les procureurs disposent d e9un cadre l e9gal pr e9cis pour déclencher ou lever l e9alerte, et les autorit e9s rappellent les crit e8res qui guident ces d e9cisions et les r e8gles relatives e0 la diffusion des photos.
Alerte enl e8vement lev e9e pour Khuslen : les crit e8res expliqu e9s
L
alerte a e9t e9 déclench e9e le 7 octobre en soir e9e et lev e9e le 8 octobre au matin, selon les e9l e9ments du r e9cit. Selon le site officiel de l e9alerte enl e8vement, « cdc e9st le procureur de la R e9publique territorialement comp e9tent qui prend la d e9cision de déclencher ou non le dispositif Alerte enl e8vement ». C ect e9st e9galement lui qui d e9cide de lever cette m eame alerte, qui fait office de « v e9ritable acte d e9enqu eate ».
Par ailleurs, BFMTV expliquait alors qu aane un ou plusieurs crit e8res n e9taient plus d e9actualité : par exemple, les enqu eaters peuvent avoir recueilli suffisamment d e9l e9ments pour localiser la victime, ne plus la consid e9rer comme e9tant en danger ou encore juger que la diffusion de cette alerte peut nuire e0 l e9int e9grit e9 physique de la personne enlev e9e.