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Le président américain Donald Trump a annoncé, lundi 10 mars, l’arrestation de Mahmoud Khalil, un leader des manifestations étudiantes contre la guerre à Gaza, sur le campus de l’université Columbia à New York. Cette arrestation a été effectuée par les autorités fédérales et a suscité des réactions immédiates.
Menaces de Donald Trump
Trump a déclaré sur son réseau Truth Social : * »C’est la première arrestation et il y en aura beaucoup d’autres »*. Il a précisé que le gouvernement ne tolérera pas les actions jugées proterroristes, antisémites ou anti-américaines de la part d’étudiants, affirmant : * »Nous allons trouver, arrêter et expulser ces sympathisants terroristes. »*
L’arrestation de Mahmoud Khalil
Le syndicat étudiant a confirmé l’arrestation de Khalil, un Palestinien récemment diplômé de l’université. Cette interpellation s’inscrit dans un contexte où Trump a également promis d’expulser les étudiants étrangers qualifiés d’* »agitateurs »*. Le syndicat a dénoncé ces mesures comme étant excessives.
Réactions et conséquences
Marco Rubio, secrétaire d’État américain, a ajouté que le gouvernement s’apprête à retirer les visas ou cartes de résident permanent aux soutiens du Hamas aux États-Unis, leur permettant d’être expulsés. Cette situation soulève des inquiétudes parmi les étudiants et les défenseurs des droits civiques.
Manifestations sur le campus
Les manifestations pro-palestiniennes se poursuivent sur le campus de l’université Columbia, illustrant les tensions croissantes autour du conflit à Gaza. Les étudiants se regroupent pour exprimer leurs opinions et soutenir la cause palestinienne, malgré les menaces d’arrestation.