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Biden affirme qu’un cessez-le-feu à Gaza est toujours possible
Le président américain Joe Biden a déclaré dimanche soir que la possibilité d’un cessez-le-feu dans le secteur de Gaza demeure présente, malgré les rapports faisant état de l’échec des négociations en raison de nouvelles conditions imposées par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Des négociations toujours en cours
Après avoir passé le week-end au Camp David, Biden a expliqué à la presse que les discussions continuent et a réaffirmé : « Nous ne lâcherons pas ». Il a souligné que parvenir à un accord « est toujours possible ».
Visite d’Antony Blinken
Ces déclarations coïncident avec l’arrivée à Tel Aviv de son secrétaire d’État Antony Blinken, dans le cadre des efforts diplomatiques intensifs déployés par Washington pour établir un cessez-le-feu à Gaza. Il s’agit de la neuvième visite de Blinken dans la région depuis le début de l’agression israélienne sur Gaza en octobre de l’année dernière.
Propositions américaines et réactions de Hamas
Cette visite intervient après que les États-Unis ont présenté des propositions visant à combler les divergences entre Hamas et Entité sioniste. Plus tôt, Hamas a déclaré que la proposition américaine acceptée le 2 juillet a récemment été modifiée avec l’ajout de nouvelles conditions répondant aux attentes de Netanyahu.
Conditions imposées par Netanyahu
Dans un communiqué, Hamas a affirmé que, après concertation avec les intermédiaires, il est devenu évident que Netanyahu continue d’imposer des obstacles supplémentaires, portant ainsi la responsabilité de l’échec des efforts de médiation. La nouvelle proposition répond aux exigences de Netanyahu, notamment son refus d’un cessez-le-feu permanent et son insistance sur le maintien de l’occupation de certains points stratégiques dans la région.
Nouvelles entraves aux discussions de paix
Hamas a également signalé que la proposition actuelle introduit de nouvelles conditions concernant les échanges de prisonniers, tout en revenant sur certains engagements antérieurs, ce qui complique grandement la réalisation d’un accord d’échange.