La censure semble s’éloigner à l’Assemblée nationale pour Sébastien Lecornu, mais les débats budgétaires s’annoncent épiques et inédits sans la menace du 49.3 pour en garantir l’issue. Les parlementaires préparent des arbitrages sur les crédits et les mesures à venir, dans un contexte de tensions persistantes autour du financement public.
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À l’Assemblée nationale, les débats budgétaires s’ouvrent sans 49.3
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Les débats promettent d’être déterminants pour l’équilibre des finances publiques et pour les choix entre protection sociale, investissements et programmes réclamés par les parlementaires. L’absence de recours au 49.3 modifie les dynamiques de négociation et peut orienter le calendrier des votes sur les crédits et les mesures phares.
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Enjeux pour les crédits et les territoires
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Les arbitrages viseront les crédits prioritaires, les services publics et les investissements régionaux, avec une attention particulière portée aux dispositifs sociaux et à la soutenabilité budgétaire. Le gouvernement et les oppositions devront rechercher des compromis susceptibles d’établir une trajectoire stable sans recourir à des mécanismes d’exception, tout en répondant aux attentes des citoyens.
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La séquence parlementaire s’annonce dense et susceptible d’influencer la trajectoire budgétaire des mois à venir, avec des échanges qui pourraient définir les engagements et les marges de manœuvre des différents acteurs.