Des gendarmes ont été blessés vendredi soir à Saint-Egrève, près de Grenoble, après l’explosion d’un feu d’artifice contre leur véhicule lors d’une patrouille. Les tirs ont projeté des éclats dans l’habitacle par une fenêtre ouverte et les deux militaires, appartenant à la brigade de Sassenage, ont été pris en charge. Ils souffrent d’un traumatisme sonore important et ont reçu un arrêt maladie de sept jours; une enquête a été confiée à la brigade de Saint-Egrève pour identifier l’auteur des tirs.
À Saint-Egrève, des tirs de feux d’artifice ciblent un véhicule de gendarmes
«et sont tombés dans un guet-apens : un individu embusqué a ciblé leur véhicule avec des tirs de feux d’artifice et des éclats sont entrés dans l’habitacle par une fenêtre ouverte», a indiqué la compagnie de gendarmerie de Grenoble, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Les deux militaires, appartenant à la brigade de Sassenage, souffrent d’un «traumatisme sonore important» et se sont vu prescrire un arrêt maladie de sept jours, a précisé la même source.
Une enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de Saint-Egrève pour identifier l’auteur des tirs.
Enquête et cadre de l’affaire
Selon l’AFP, l’enquête est confiée à la brigade de Saint-Egrève et vise à identifier l’auteur des tirs contre le véhicule des gendarmes.