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Les accusations alarmantes de violences et de comportements inappropriés émergent contre Diddy, le célèbre rappeur, producteur de musique et entrepreneur américain, qui se retrouve au cœur d’une tempête médiatique. Ces derniers mois, de nombreux témoignages de ses anciens collègues et d’autres professionnels de l’industrie ont mis en lumière des comportements choquants de la part de l’artiste new-yorkais.
Les menaces
Selon des témoignages, Diddy aurait déclaré : « J’ai tellement d’argent maintenant que je pourrais engager quelqu’un pour t’éliminer, et personne ne le saurait. » Ces propos inquiétants révèlent un climat de peur et de manipulation autour de l’artiste.
Le sexe en studio
Les récits de comportements sexuels inappropriés dans les studios d’enregistrement, y compris l’utilisation de fonds de l’entreprise pour payer des prostituées, continuent d’affluer. Tony Buzbee, avocat représentant de nombreuses présumées victimes, a déclaré : « La conduite est devenue plus atroce au fil du temps, remontant aux années 90. » Une de ses clientes accuse Diddy de l’avoir violée sur le sol d’un salle de bain lors d’une fête en hommage à The Notorious B.I.G. en 1995. Elle affirme que Diddy lui aurait dit de ne rien révéler sous peine de disparaître. Ces accusations ont été fermement niées par l’équipe légale de Diddy, qui a qualifié Buzbee de « plus intéressé par l’attention médiatique que par la vérité ».
Les nouvelles causes pour viol
Récemment, deux nouvelles poursuites ont été déposées contre Diddy, l’accusant d’avoir participé au viol de plusieurs femmes dans un hôtel Trump. La première action en justice, initiée par une ancienne serveuse, allègue qu’elle a été violée à la fin des années 90 après un événement au nightclub Limelight à New York. Selon ses dires, après la fête, elle et une amie auraient été retenues en otage, droguées et forcées de participer à des rapports sexuels de groupe. La seconde plainte, présentée par une amie de la première femme, affirme que la victime a été agressée sexuellement deux fois, par Diddy et un agent de sécurité. Le cabinet d’avocats de Combs a démenti ces accusations, affirmant que « notre client ne peut pas répondre à chaque nouvelle trouvaille publicitaire, même face à des allégations manifestement ridicules ou fausses ».