Le troisième film Downton Abbey, Le Grand Finale, arrive en salles et met fin à quinze années d’histoire sur grand écran et à la série télévisée. L’intrigue principale tourne autour d’un tournant intime: Lady Mary divorce et, par conséquent, se voit écarter des bals organisés par la famille royale, poussant les Crawley à organiser un dîner pour préserver leur honneur. Les cinéastes promettent un mélange de drames familiaux, de nostalgie et de beaux décors, fidèle à l’esprit de la saga. La sortie est marquée par l’attente des fans et des proches du cast, qui évoquent des adieux chargés d’émotion.

Downton Abbey : Le Grand Finale conclut quinze ans d’histoire
Ce troisième film poursuit l’histoire après les précédentes adaptations et porte à son paroxysme des thèmes chers à la saga: les relations familiales, les codes de l’époque et les bouleversements sociaux. La saga a accompagné quinze ans d’histoire sur le petit écran et au cinéma, et ce chapitre final promet un cocktail d’émotions : drames familiaux, bouleversements sociaux et nostalgie.
La sortie est présentée comme l’aboutissement d’une ère pour les Crawley et leurs domestiques, et les outfits somptueux et les décors majestueux restent au cœur de l’expérience visuelle qui a fidélisé des fans du monde entier.
Des adieux émouvants des interprètes et des confidences
Les acteurs ont évoqué les émotions des tournages et les adieux à ce qui est devenu pour eux bien plus qu’un travail. Laura Carmichael, l’interprète de Lady Edith, a confié au HuffPost avoir « sangloté longuement » après les dernières scènes, témoignant de liens indestructibles au sein d’une vraie famille à l’écran.
De son côté, Harry Hadden-Paton, qui incarne Bertie Pelham, a déclaré au HuffPost: « Cela fait un an que c’est fini et que je me demande si un jour je connaîtrais à nouveau une autre expérience de cette dimension, une telle alchimie avec le reste du casting. Je pense que c’est malheureusement unique et qu’il faut que je fasse mon deuil », déclare-t-il au HuffPost. Les acteurs confirment que les liens perdurent et que le départ n’efface pas l’histoire partagée.
