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À l’approche des élections parlementaires à Grönland, les services de renseignement danois mettent en garde contre la propagation de fausses informations provenant de puissances étrangères. Cette situation est exacerbée par les tensions croissantes entre les grandes puissances dans l’Arctique et les débats sur la sécurité internationale.
Un contexte géopolitique tendu
Grönland, avec ses moins de 60 000 habitants, est devenu un point focal pour les relations internationales depuis l’élection de Donald Trump. Selon les avis des agences de renseignement danois, la Russie est perçue comme une menace potentielle, cherchant à influencer les résultats des élections prévues le 11 mars.
Alerte sur les fake news
Les services de renseignement danois, PET et FE, préviennent que la compétition accrue entre les États-Unis et la Russie pourrait entraîner une propagation de désinformation sur les réseaux sociaux, visant à perturber le processus électoral. Ils affirment que ces tentatives d’influence pourraient servir les intérêts étrangers dans la région.
Les intentions des grandes puissances
Le Kremlin est spécifiquement mentionné dans les analyses des services de renseignement. La Russie aurait un intérêt à semer la discorde entre les pays membres de l’OTAN tout en s’opposant à une augmentation de l’influence américaine à Grönland.
Les enjeux de l’élection
Le président américain Donald Trump a exprimé son désir d’acquérir la plus grande île du monde, évoquant même des moyens militaires ou économiques pour y parvenir. En réponse, le gouvernement gronlandais a réaffirmé son engagement vers une possible indépendance vis-à-vis du Danemark, précisant qu’il ne souhaitait pas devenir une partie des États-Unis.