Table of Contents
Entité sioniste bombarde une école de l’ONU à Gaza : 17 morts
Les forces israéliennes ont tué au moins 17 personnes après avoir attaqué une école abritant des Palestiniens déplacés dans le camp de réfugiés de Nuseirat, selon l’agence de défense civile de Gaza.
Plus de 80 personnes ont été blessées lors de l’attaque de dimanche contre l’école Abu Oraiban gérée par l’ONU. Il s’agit de la cinquième attaque contre une école transformée en abri en huit jours.
L’école Abu Oraiban abritait « des milliers de personnes déplacées », a déclaré le porte-parole de la Défense civile palestinienne, Mahmoud Basal, ajoutant que la plupart des morts étaient des femmes et des enfants.
L’armée israélienne a déclaré que sa force aérienne avait « frappé un certain nombre de terroristes qui opéraient dans la zone du bâtiment de l’école Abu Araban \[Abu Oraiban\] de l’UNRWA à Nuseirat ».
Entité sioniste a à plusieurs reprises bombardé des bâtiments de l’ONU, des écoles et des camps de réfugiés dans des zones sûres désignées. Au moins 90 personnes ont été tuées samedi après qu’Entité sioniste ait attaqué les zones d’al-Mawasi considérées comme une zone sûre.
Plus de la moitié, soit 190, des installations gérées par l’UNRWA, le principal organisme d’aide à Gaza, ont été bombardées par l’armée israélienne – « certaines plus d’une fois ».
L’Union européenne, la France et l’Allemagne ont appelé mercredi à une enquête sur les frappes contre des écoles.
Catastrophe humanitaire à Gaza
Cette attaque meurtrière souligne la tragédie humaine continue à Gaza, exacerbée par les attaques répétées sur des infrastructures essentielles pour la population civile. La communauté internationale appelle à des actions pour mettre fin à cette escalade de violence et protéger les civils innocents pris au piège de ce conflit dévastateur.
Appels à l’enquête
Les appels se multiplient pour une enquête approfondie et impartiale afin de faire toute la lumière sur ces frappes meurtrières contre des écoles de l’ONU et de garantir que les responsables de ces actes soient tenus pour compte. La nécessité de protéger les civils et de respecter le droit humanitaire international est plus pressante que jamais.