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Lors d’une récente émission spéciale de CNN, la candidate démocrate à la présidence des États-Unis, Kamala Harris, a déclaré que son rival républicain Donald Trump est un fasciste. Cette affirmation a été faite lors d’un échange avec des électeurs indécis, dirigé par le journaliste Anderson Cooper.
Les déclarations de Kamala Harris
En réponse à une question sur la nature de Donald Trump, Harris a affirmé : « Oui, c’est ce que je pense. Et je crois aussi que les gens devraient avoir confiance en ceux qui le connaissent le mieux à ce sujet. » Ces commentaires surviennent dans un contexte où les tensions politiques sont élevées à l’approche des élections américaines.
Les révélations de John Kelly
Les déclarations de Harris font suite à un entretien accordé par John Kelly, ancien chef de cabinet de Trump, qui a précisé que l’ancien président correspond à la « définition générale d’un fasciste ». Kelly a également confirmé des rapports antérieurs indiquant que Trump s’est exprimé de manière positive sur Adolf Hitler à plusieurs reprises.
Les préoccupations des anciens collaborateurs de Trump
Kamala Harris a continué en soulignant que de nombreux anciens membres de l’administration Trump ont clairement indiqué qu’il méprisait la Constitution des États-Unis. Selon elle, ces anciens collaborateurs ont exprimé que Trump ne devrait jamais être autorisé à servir à nouveau en tant que président des États-Unis.
Impact sur les élections à venir
Les déclarations de Harris et les préoccupations exprimées par les anciens membres du gouvernement ajoutent une couche supplémentaire de complexité au paysage politique, alors que les prochaines élections présidentielles approchent. L’électorat pourrait être influencé par ces révélations et les débats qui en découlent.