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Des frappes russes à Kherson ont fait un mort et deux blessés, selon des responsables locaux et les autorités judiciaires. L’attaque a eu lieu aux alentours de 04h45 heure locale le 27 août, et une enquête a été ouverte pour crime de guerre. Dans ce contexte, l’armée russe poursuit sa progression dans la région, où des combats et des dégâts ont été signalés ces derniers mois.
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Kherson: bilan et enquête en cours
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Selon les premiers éléments de l’enquête et l’administration militaire locale, l’attaque a touché Kherson vers 04h45. Une femme de 81 ans a été tuée et une autre de 53 ans blessée et hospitalisée; un homme de 56 ans a été blessé dans une attaque au drone dans le centre de la ville, selon les autorités. Le procureur a ouvert une enquête pour « crime de guerre ».
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L’administration militaire de la région de Kherson a aussi indiqué que l’armée russe occupe environ 20% de l’Ukraine et a accéléré sa progression ces derniers mois, face à des unités ukrainiennes moins nombreuses et moins bien équipées.
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Contexte et perspectives locales
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Les informations officielles décrivent une situation marquée par des combats et des bombardements répétés dans la région, où la sécurité demeure précaire et où des opérations de sécurité et d’enquête se poursuivent. Le cas de Kherson s’inscrit dans un conflit plus large, où l’armée russe a accru sa présence et ses attaques dans les zones occupées.
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Des tirs d’artillerie et l’extension potentielle des zones touchées dans le centre de Kherson ont été signalés par les autorités; la situation demeure volatile et les autorités appellent à la prudence. L’administration locale précise que les opérations de sécurité et les enquêtes se poursuivent pour faire toute lumière sur les événements.
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Réactions et suites judiciaires
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Le procureur a confirmé l’ouverture d’une enquête pour crime de guerre ayant causé la mort d’une personne. Les sources disponibles ne détaillent pas de réactions internationales dans l’immédiat et aucune autre information officielle n’a été communiquée pour le moment. Les autorités locales rappellent la gravité des attaques et leur impact sur les civils.