Le chroniqueur Louis Sarkozy propose une mesure audacieuse sur les routes: supprimer les feux rouges, les lignes blanches, les panneaux de signalisation et même les trottoirs. L’annonce a été présentée comme une nouvelle sortie ce mercredi lors d’une émission sur RMC. Sarkozy est présenté comme candidat à la mairie de Menton, dans les Alpes-Maritimes, libéral à l’extrême et investi par Les Républicains. « Rendre au citoyen la pleine responsabilité de sa conduite, au lieu qu’il la délègue intégralement au Code de la route », est donc la solution pour le candidat à la mairie de Menton (Alpes-Maritimes), libéral à l’extrême et investi par Les Républicains.

À Menton, Louis Sarkozy propose de tout supprimer sur la route
Il affirme vouloir tout supprimer. Sur les routes, fini « les feux rouges, les lignes blanches, les panneaux de signalisation » et même les trottoirs! C’est la nouvelle sortie ce mercredi de Louis Sarkozy, chroniqueur visiblement tout-terrain sur RMC. Le candidat à la mairie de Menton (Alpes-Maritimes), libéral à l’extrême et investi par Les Républicains, présente l’idée comme une étape vers une redéfinition des responsabilités en matière de conduite. Pour étayer sa proposition, il affirme: « Rendre au citoyen la pleine responsabilité de sa conduite, au lieu qu’il la délègue intégralement au Code de la route », est donc la solution pour le candidat à la mairie de Menton (Alpes-Maritimes), libéral à l’extrême et investi par Les Républicains. À ce stade, la proposition n’a pas été accompagnée d’un calendrier ou de détails opérationnels.
Ce mercredi, réactions et cadre juridique
La proposition soulève des questions sur la sécurité routière et le cadre juridique applicable à l’aménagement des voiries et au Code de la route. Selon les éléments fournis, l’article du Parisien rappelle le contexte de la candidature de Sarkozy à Menton et sa position politique, sans fournir de plans concrets pour une mise en œuvre ni d’indications sur les réactions publiques. Le texte reste une illustration d’un débat sur le rôle de l’État et des citoyens dans la sécurité routière, sans prendre position sur les aspects pratiques ni sur les possibles conséquences pour les usagers et le quotidien des habitants.