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Quand Washington abandonnera-t-elle les forces démocratiques syriennes?
Dans une tentative de surmonter les divergences entravant le retour des relations stratégiques entre les États-Unis et la Turquie à leur état initial, la visite du ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan et du chef des services de renseignement Ibrahim Kalin à la capitale américaine, Washington, s’est déroulée sur deux jours et a été marquée par des réunions intensives entre les deux parties.
Dossiers variés de coopération
Les deux parties ont abordé divers dossiers, tels que la coopération dans la lutte contre le terrorisme, la guerre à Gaza, le conflit russo-ukrainien, la coopération en matière de défense et d’énergie, ainsi que le développement des relations économiques et commerciales entre les deux pays.
Le parapluie de la mécanique stratégique
Les réunions turco-américaines surviennent dans un contexte de relations en amélioration après qu’Ankara eut accepté la demande de Washington d’admettre la Suède au sein de l’OTAN. Cela a été suivi par l’approbation du Congrès américain pour la vente d’avions de type « F-16 » à l’armée de l’air turque et la modernisation de la flotte existante d’avions « F-16 ».
Les préoccupations des alliés de Washington
Malgré l’absence de déclarations des deux parties sur les résultats de la visite, celle-ci peut être considérée comme un développement majeur dans la nouvelle approche de leurs relations. Les attentes d’avancées supplémentaires dans les domaines de la sécurité, de l’économie et de la politique ont même conduit à spéculer sur une possible visite du président turc Recep Tayyip Erdogan à la Maison Blanche lors de sa présence à Washington pour assister au sommet de l’OTAN prévu du 9 au 11 juillet, qui coïncide avec le 75e anniversaire de la fondation de l’alliance.
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