Home ActualitéRévélations sur la ‘Kézib’ sioniste après le 7 octobre

Révélations sur la ‘Kézib’ sioniste après le 7 octobre

by Sara
Palestine

Révélations sur la ‘Kézib’ sioniste après le 7 octobre

Avant l’aube du 7 octobre dernier, la scène internationale, en particulier celle des Palestiniens, ne laissait pas présager la réalité. D’une certaine manière, toutes les « vérités » trompeuses du monde se sont réunies pour produire un énorme mensonge, et la condition pour que ce mensonge survive était qu’il ne soit pas percé à jour.

Le moyen de percer ce mensonge était de dépasser les systèmes de surveillance, les défenses automatiques et les murs épais que l’Israël a construits, investissant des milliards de dollars à la frontière avec la Gaza assiégée. C’est ce que le rabbin américain Jacob Shapiro appelle la « Kézib sioniste », et il vous surprendra par sa compréhension des détails.

Les mensonges et leurs implications

Les mensonges sont trompeurs par nature, non seulement parce qu’ils cachent la vérité et transmettent une réalité trompeuse, mais parce qu’ils ne révèlent jamais tous leurs dommages. C’est une partie de la psychologie des mensonges ; leur existence même offense notre intelligence et notre capacité à observer, analyser et critiquer.

Pour cette raison précise, l’impact des mensonges diminue avec le temps, peu importe leur laideur. Les mensonges anciens ne nous provoquent plus, car ils ont offensé ceux qui nous ont précédés et se sont installés pour devenir évidents.

La première ‘kèzib’

Le rabbin américain anti-sioniste Jacob Shapiro déclare que « la sionisme est le mensonge qui englobe tous les mensonges ultérieurs ». Il explique son idée lors d’une longue interview avec TRT, soulignant qu’à ses débuts, la sionisme n’unissait pas le peuple juif, qui n’était pas un groupe homogène culturellement ou linguistiquement.

Les communautés juives étaient souvent isolées, conscientes de leur distinction face à leur environnement chrétien. La solution logique était de se regrouper dans des sociétés repliées sur elles-mêmes, permettant de préserver leur distinction.

De cette réflexion est née l’idée de transformer la religion juive en nationalité. C’était « la première kèzib », selon Shapiro ; une identité unifiée pour réunir les Juifs de l’Est, de l’Ouest, du Nord et du Sud.

Maniérisme et perception

La professeure de linguistique à l’Université hébraïque de Jérusalem, Nirit Bilid-Hanan, observe que le trait le plus évident des programmes éducatifs israéliens est l’antipathie envers tout ce qui est non juif. Les enfants apprennent à l’école que tout le monde les poursuit depuis le début des temps simplement parce qu’ils sont juifs.

Ce phénomène est aussi visible dans le discours officiel de l’État, qui a besoin de cette hostilité pour justifier son existence et son union, soutenant ainsi les nouvelles vagues d’immigration pour maintenir sa supériorité numérique sur les Palestiniens.

La guerre et ses conséquences

Le 7 octobre a été un tournant qui a exposé la narrative historique d’Israël à un examen sans précédent. La grande offensive des factions de résistance a attiré l’attention mondiale, révélant la brutalité de l’armée israélienne envers les civils.

Dans ce contexte actuel, il est difficile de prédire les résultats de cette guerre, mais il est évident que l’heure du mensonge et de la désinformation prend fin. La situation démontre que la vérité peut renaître même dans les heures les plus sombres.

Un nouveau chapitre

Alors que les mensonges continuent de proliférer, le contexte actuel, marqué par la résistance et les vérités révélées, transforme la dynamique du discours public. La génération actuelle, plus engagée sur les plateformes numériques, commence à remettre en question les récits anciens, offrant un espace pour une nouvelle compréhension des faits.

Le paysage médiatique et académique évolue, et les voix critiques s’élèvent contre la narrative officielle, ouvrant la voie à des discussions plus nuancées sur le conflit israélo-palestinien.

You may also like

Leave a Comment