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Six mois d’agression israélienne paralysent l’éducation au Sud-Liban
Les régions du Sud-Liban connaissent une escalade militaire marquée, imposant une nouvelle réalité éducative aux étudiants. Le secteur de l’éducation au Liban, déjà en crise, se retrouve aujourd’hui face à une crise encore plus complexe sous l’agression israélienne.
Une situation éducative compromise
Pendant les 6 mois depuis le début de l’escalade dans les régions frontalières liée à l’opération « Tofan Al-Aqsa » et l’agression israélienne qui a suivi à Gaza, la vie dans les villages frontaliers est devenue impossible. Les affrontements directs avec Entité sioniste ont entraîné la perturbation de l’enseignement dans les écoles publiques et privées, même dans les zones relativement éloignées, à environ 8 kilomètres, en raison des affrontements directs.
Le ministère libanais de l’Éducation a fourni une tablette à une famille déplacée, pour que 3 de ses enfants puissent suivre des cours à distance (Al Jazeera).
Mesures inefficaces
Face à cette réalité, Mustafa El-Sayed Abu Hassan, déplacé de Beit Lif, se trouve avec sa famille de deux épouses et 11 enfants dans un centre d’accueil à Tyr, dans l’incertitude quant à l’avenir scolaire de ses enfants. Il se plaint du manque de suivi de l’éducation de 4 de ses enfants depuis le début de l’année scolaire en raison de la fermeture de leur école en raison de l’agression.
Pressions psychologiques et traitements spéciaux
Les résidents des zones touchées par l’agression israélienne subissent des pressions intenses, s’inquiétant pour l’avenir scolaire de leurs enfants et subissant en même temps des pressions psychologiques intenses dus aux événements violents qu’ont vécus leurs enfants.
La période actuelle laisse des impacts négatifs profonds sur la vie des enfants (Al Jazeera).