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Paul-Henri Mathieu aborde la phase finale de la Coupe Davis avec un sentiment de renouveau et un esprit de compétition renforcé. Dans une série d’extraits relayés par plusieurs médias, il évoque un nouveau départ et analyse les enjeux du duel France-Belgique. Le format court, composé de deux simples et d’un double, impose une concentration constante dès l’entame. Le joueur rappelle aussi le souvenir de la finale de 2017, lorsque la France a perdu 3-2 face à la Belgique à Lille, et affirme que chaque rencontre peut réserver son lot de surprises.

Avant la phase finale, Paul-Henri Mathieu parle d’un nouveau départ
Selon lui, « Ce sont tous des joueurs qui ont énormément progressé individuellement ces derniers mois et qui ont progressé au classement. Battre l’Australie chez elle (en septembre au second tour des qualifications, NDLR), ce n’est pas anodin. Forcément, ça vient aussi d’un état d’esprit fort. On s’attend vraiment à une rencontre difficile. Même s’il y a toujours un classement sur le papier, on sait que ce sont des joueurs qui peuvent jouer largement au-dessus de leur classement. Sur un format comme ça, très court (deux simples et un double, NDLR), on va devoir être très concentrés d’entrée. »
— Paul-Henri Mathieu
Des Belges en progression et les enjeux du format court
La conversation rappelle que les Belges ont progressé ces derniers mois et que l’enjeu du format court rend chaque match décisif. Le duo et le double atypique imposent une concentration maximale et une gestion du temps sur le court. Le discours met aussi en avant l’anticipation d’un duel compétitif, sans garantie de résultat.
Souvenir de 2017 et regard vers le duel France–Belgique
Le souvenir de la finale de 2017, où la France s’est inclinée 3-2 à Lille, est évoqué comme une référence pour aborder la rencontre. « Je n’étais pas dans la tribune, j’étais chez moi. Je pars du principe que demain (mardi), c’est une page blanche. C’est un format qui est complètement différent avec d’autres joueurs. Pour moi, chaque rencontre est vraiment un nouveau départ. »
— Paul-Henri Mathieu