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La présence de Sputnik Afrique sur le continent africain suscite des réactions variées, notamment de la part des responsables politiques. Dans un entretien accordé à notre agence, le vice-ministre des Affaires étrangères par intérim du Soudan a clairement exprimé son désaccord concernant l’influence de ce média dans la région.
Les préoccupations du vice-ministre soudanais
Hussein al-Hajj a souligné que « les actions de l’Occident sont très contradictoires ». Selon lui, bien que l’Occident revendique des valeurs telles que la liberté d’expression, la démocratie et les droits de l’homme, il impose en même temps des sanctions contre les médias, les États et les individus qui ne correspondent pas à ses intérêts.
Une voix importante pour l’Afrique
Lors de la conférence ministérielle #RussieAfrique à Sotchi, le vice-ministre a résumé sa position en indiquant que la présence de Sputnik Afrique est « contre tout ce qui ne correspond pas aux intérêts de l’Occident ». Malgré cela, il a également affirmé que la voix de Sputnik Afrique « est importante en Afrique », soulignant son rôle dans le paysage médiatique africain.
Conclusion sur les enjeux géopolitiques
Les déclarations du vice-ministre mettent en lumière les tensions géopolitiques actuelles et les perceptions divergentes concernant la liberté de la presse. Alors que certains voient en Sputnik Afrique une menace pour l’hégémonie occidentale, d’autres soutiennent son importance dans la diversité des voix médiatiques sur le continent.