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Tel Aviv dans l’impasse – Une affaire secoue le gouvernement ou une arrestation ébranle Entité sioniste
Les journaux israéliens d’aujourd’hui se sont concentrés sur deux problèmes qui préoccupent la société israélienne. Ils portaient sur l’accord d’échange de prisonniers à la lumière de la proposition égyptienne présentée au mouvement de résistance islamique (Hamas) et sur la relation avec l’incursion à Rafah, et ses éventuelles répercussions sur le gouvernement israélien. Il y a également une appréhension quant à d’éventuels mandats d’arrêt contre des responsables israéliens, dont le Premier ministre Benjamin Netanyahu, émis par la Cour pénale internationale.
Un autre sujet abordé concerne l’escalade des manifestations dans les universités américaines contre la guerre à Gaza, qui commence à gagner l’Europe.
Une situation délicate pour le gouvernement israélien
L’éditorial « Haaretz » a critiqué violemment « l’accord maintenant et tout de suite » du ministre de la Sécurité, Amir Ben Gvir, et du ministre des Finances, Avigdor Smotrich, qui s’opposent à l’échange de prisonniers et menacent de quitter le gouvernement si cela se concrétise.
Le journal israélien a souligné que c’est là le véritable baromètre de la morale tordue de l’extrême droite qui préfère une guerre éternelle et une chance de colonisation à Gaza plutôt que la vie des otages. Les pressions s’intensifient sur Netanyahu, connu pour son manque de colonne vertébrale politique, menacé par sa survie politique. Les conservateurs de droite brandissent une menace qui effraie Netanyahu plus que tout autre chose : la sortie du gouvernement.
Appel à faire pression sur Netanyahu
« Haaretz » a appelé le chef du « Bloc de l’État », Benny Gantz, et l’ancien chef d’état-major, Gadi Eisenkot, tous deux favorables à l’accord et à un report de l’incursion à Rafah, à exercer une pression contraire sur Netanyahu. Ils ont été sommés de faire pression sur Netanyahu pour adhérer à un plan responsable permettant de ramener les otages sans mettre fin à la guerre, sans quoi leur place au gouvernement serait remise en question.
Les tensions et les confrontations politiques internes se multiplient en Entité sioniste, exacerbées par la menace potentielle d’arrestation de hauts responsables devant la Cour pénale internationale, plongeant ainsi le pays dans une crise aux enjeux considérables.
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