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La scène musicale des années 60 et 70 continue d’exercer une fascination indéniable, et la récente réédition de la série *Pop à Paris* s’inscrit dans cette dynamique. Alors que de nombreuses compilations ont exploré les mouvements garage-rock-pop à travers le monde, la France a souvent été à l’écart de cette exploration interne. La série, qui a vu le jour grâce à Vincent Palmer, ancien guitariste de Bijou, et Jean-Pierre Haie, revient avec des albums remastérisés et de nouveaux volumes inédits.
Une réédition tant attendue
Les cinq albums de *Pop à Paris* sont désormais disponibles, et ils sont accompagnés de trois nouveaux volumes mettant en lumière des trésors musicaux des années 70. Parmi les titres incontournables, on retrouve le classique *7 heures du matin* de Jacqueline Taïeb, qui a marqué son époque, mais aussi des morceaux moins connus qui méritent d’être redécouverts.
Des pépites à redécouvrir
Cette réédition permet de redécouvrir des titres variés et emblématiques, tels que :
- *La Fermeture éclair* de Delphine
- *Epitathe pour Brian Jones* de Jean-Michel Caradec
- *Flower Power* d’Alan Stivell
Ces morceaux illustrent une époque de liberté, d’insouciance et de rébellion, marquée par les événements de mai 68. La musique de cette période évoque des émotions qui résonnent encore aujourd’hui.
Un voyage musical dans le temps
À travers cette série, les auditeurs sont invités à un voyage dans le temps, où l’humour et la créativité prédominaient. *Pop à Paris* propose ainsi une rétrospective enrichissante sur une génération de musiciens qui ont su capturer l’esprit de leur temps avec des mélodies accrocheuses et des paroles réfléchies.