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Et si Blanche-Neige, Cendrillon ou le Petit Chaperon rouge croisaient la route de sept ours farceurs ? Diffusée dès le 10 juillet, la nouvelle série animée de Netflix revisite les contes avec humour et tendresse.
Une série colorée et malicieuse
Des couleurs éclatantes, des personnages malicieux et une relecture inventive des contes traditionnels : tous les ingrédients semblent réunis pour séduire les petits et les grands. Le 10 juillet, Netflix met à l’honneur Les 7 ours, une nouvelle création française issue du studio Folivari, déjà saluée pour Ernest et Célestine.
Sept ours et des contes à rebours
Adaptée des albums d’Émile Bravo (Les contes palpitants des 7 ours nains), la série revisite Blanche-Neige, Cendrillon et le Petit Chaperon rouge à travers les interventions cocasses de sept ours maladroits. Chaque épisode les propulse dans un récit bien connu qu’ils vont bousculer, transformer et réécrire.
Un programme pour toute la famille
Conçu pour les enfants dès six ans, le show multiplie les niveaux de lecture. Les plus jeunes se laisseront séduire par les gags visuels, les dialogues rythmés et les aventures rocambolesques. Les parents, quant à eux, retrouveront les grandes lignes des contes de leur enfance, détournés avec un humour bienveillant et une pointe de satire.
Une animation chaleureuse et expressive
La réalisation s’appuie sur une animation 3D soignée. Supervisé par Robert Vargas (Les Schtroumpfs, 2021), le projet conserve l’esthétique d’Émile Bravo tout en lui donnant un souffle contemporain. Les ours sont expressifs, leurs mouvements fluides et les décors lumineux.
Un dialogue entre générations
Lors de la présentation de la série au Festival d’Annecy, le réalisateur Guillaume Rio a expliqué que l’équipe avait volontairement adouci le ton original des albums pour proposer une production plus accessible, avec des ours formant un collectif comique et attendrissant, inspirés des Ewoks ou des Minions.
Au-delà de son potentiel comique, Les 7 ours stimule l’imagination et encourage le dialogue. Visionner un épisode devient l’occasion de comparer les versions, de débattre des choix narratifs, voire de réécrire ses propres contes. Le format court et la qualité de l’écriture en font un programme idéal à partager entre générations.