Titre de l’article en français: Piments et poulet, cuisine indienne d’amour du Manipur en crise.
Le New Delhi, Inde – Bidotama, 26 ans, est en train de remuer des arachides dans une poêle. Toutes les quelques minutes, elle se tourne vers sa meilleure amie, Mardza, 25 ans, qui est occupée à hacher des tomates et à trancher des U-morok, une variété de piments forts, qui seront ajoutés au curry de poulet spécial qui mijote sur une cuisinière à deux brûleurs.
Elles parlent dans leur langue maternelle, le Meitei, et rient en continuant à cuisiner.
Dans le salon, Akoijam Sunita, 45 ans, mélange des graines de sésame noir, du gingembre et du sel entre un mortier lourd et un moulin électrique, espérant obtenir une texture granuleuse et non une pâte, essentielle pour réussir le thoiding asuba, un plat d’accompagnement manipuri.
Bidotama, ou Bido comme elle aime à être appelée, et Mardza, vêtues de ces pantalons douillets que les jeunes aiment porter ces jours-ci, sont debout depuis 4h30 du matin pour préparer un service de déjeuner du dimanche qu’elles organisent dans l’appartement de trois chambres d’Akoijam à New Delhi.
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