Home ActualitéKick s’engage à coopérer après la mort du streamer Jean Pormanove

Kick s’engage à coopérer après la mort du streamer Jean Pormanove

by charles
France

Raphaël Graven, 46 ans, connu sous le pseudonyme Jean Pormanove, est décédé près de Nice lors d’une diffusion en direct le 18 août, après plus de douze jours de direct sur Kick. Plusieurs médias rappellent les circonstances de cette diffusion et le rôle de la plateforme dans la diffusion de contenus sensibles. Kick a déclaré vouloir coopérer avec les autorités françaises dans le cadre de l’enquête en cours. Parallèlement, la ministre déléguée au Numérique, Clara Chappaz, a annoncé son intention d’attaquer Kick pour « manquement » et les procureurs veulent déterminer si la plateforme a diffusé « en connaissance de cause » des « vidéos d’atteintes volontaires à l’intégrité de la personne ».

Le streamer Jean Pormanove lors d'un direct
Photo du streamer Jean Pormanove (Raphaël Graven)

Kick promet de coopérer avec les autorités françaises après la mort de Jean Pormanove

Dans un communiqué publié à l’AFP, Kick affirme « Nous nous engageons pleinement à coopérer avec les autorités compétentes dans le cadre de toute enquête en cours ».

La diffusion était en douze jours de direct lorsque Raphaël Graven est décédé près de Nice, et la plateforme rappelle sa volonté de coopérer dans le cadre de l’enquête.

Les procureurs français veulent notamment déterminer si Kick a diffusé « en connaissance de cause » des « vidéos d’atteintes volontaires à l’intégrité de la personne ».

Clara Chappaz et les suites juridiques

La ministre française déléguée au Numérique, Clara Chappaz, a annoncé son intention d’attaquer en justice la plateforme Kick pour « manquement ».

Selon les informations disponibles, les procureurs cherchent à déterminer si Kick a diffusé « en connaissance de cause » des vidéos d’atteintes à l’intégrité de la personne.

Contexte et implications pour le secteur

Cette affaire relance le débat sur les obligations des plateformes de streaming en matière de sécurité et de modération, alors que Kick est sous pression des autorités françaises et de la presse européenne.

Plusieurs récits issus de nos sources convergent sur l’essentiel: une coopération affichée par Kick et une investigation centrée sur l’origine et le montage des contenus diffusés pendant le direct.

Les détails et les prochaines étapes restent à préciser, selon les autorités et les médias, sans que d’autres éléments ne soient confirmés à ce stade.

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