En ce 11 novembre, les cérémonies de commémoration se sont déployées sur tout le territoire pour marquer l’Armistice et rappeler le sens de la paix. Dans plusieurs communes, des jeunes et des élèves ont pris part aux dépôts de gerbes et aux lectures de textes, tandis que les autorités civiles et militaires ont réaffirmé le devoir de mémoire. Des chants et des témoignages ont ponctué ces moments de recueillement, qui se veulent transmis aux générations futures. Si les gestes restent symboliques, ils témoignent d’un souci durable de perpétuer la mémoire des conflits qui ont façonné l’histoire française.
A Agen et en Lot-et-Garonne, la cérémonie réunit élus et habitants
À Agen, la cérémonie du 11 novembre s’est tenue au Parc Fallières, réunissant les élus locaux, les autorités civiles et militaires et de nombreux habitants. Le préfet Daniel Barnier a déposé une gerbe au monument aux morts avant de saluer la participation des élèves des écoles Joseph Bara, Paul Bert et Sembel. Les enfants ont interprété La Marseillaise, marquant un moment d’émotion et de recueillement partagé. Le souvenir transmis aux jeunes générations a été rappelé, tandis que « Le 11 novembre, la France écoute battre son cœur. Elle se recueille devant les noms de ceux qui ont donné leur vie pour que nous vivions libres. Elle se rassemble pour commémorer la victoire et célébrer la paix », ont rappelé dans leur message commun Catherine Vautrin, ministre des Armées et des Anciens combattants, et Alice Rufio, ministre déléguée.
Cette journée illustre la continuité entre les générations et la transmission d’un souvenir qui s’appuie sur des gestes et une histoire partagée.
Dans les Landes et dans les communes, les jeunes portent le devoir de mémoire
Hier, les cérémonies dans les Landes ont rassemblé les habitants de Mont-de-Marsan, Dax, Saint-Paul-lès-Dax, Saint-Pierre-du-Mont, Grenade-sur-l’Adour et d’autres communes. Les dépôts de gerbes, les discours et les Marseillaises entonées ont rythmé les moments de recueillement. Le préfet des Landes a salué la participation de toutes celles et ceux qui perpétuent l’esprit de mémoire et de transmission. Les enfants des écoles, porteurs de drapeaux ou lecteurs de lettres de poilus, ont donné une dimension intergénérationnelle à ces cérémonies.
