Lors d’une visite d’État en Chine, Emmanuel Macron appelle Xi Jinping à favoriser des « investissements croisés » pour rééquilibrer les relations économiques France-Chine. Cette approche vise à renforcer les échanges tout en protégeant les intérêts européens et les règles de concurrence. Paris cherche à diversifier ses partenariats et à soutenir des projets conjoints dans des secteurs clés comme l’industrie, les technologies et l’énergie, sans remettre en cause les standards européens.

À Pékin, Macron appelle à des « investissements croisés »
Lors de cette étape marquée par des échanges sur les investissements croisés, Macron a déclaré que ces mécanismes devraient favoriser un rééquilibrage des flux commerciaux entre la France et la Chine et soutenir une relation économique plus équitable entre les deux nations.
L’objectif est de promouvoir des projets conjoints dans l’industrie, l’énergie et les technologies, afin de diversifier les partenariats et d’accroître la compétitivité des entreprises françaises et chinoises tout en respectant les cadres européens et les règles de transparence.
Cadre économique et implications
La démarche s’inscrit dans un cadre plus large de dialogue économique entre Paris et Pékin. Les détails sur les mécanismes, les critères et les échéances n’ont pas été dévoilés dans les éléments publiés, et les réactions officielles des autorités chinoises n’ont pas été rendues publiques dans les sources disponibles. Des analystes rappellent que la réussite de tels accords dépendra de mécanismes clairs de réciprocité et de transparence.