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Depuis un mois, l’ONG Bloom, fondée par Claire Nouvian et engagée dans la lutte contre le pillage des fonds marins, fait l’objet de diverses opérations de déstabilisation. Face à cette situation préoccupante, l’association a décidé de porter l’affaire devant la justice, accusant des lobbys de la pêche industrielle d’être derrière ces attaques.
Une pression croissante sur les militants de l’océan
Alors que les enjeux autour de la pêche industrielle deviennent de plus en plus critiques, la pression exercée sur les défenseurs des océans augmente également. La semaine dernière, Bloom était présente à Nice pour l’Unoc, une conférence onusienne dédiée aux océans. L’association est désormais un acteur incontournable dans la sauvegarde des ressources maritimes.
Depuis sa création, il y a vingt ans, Bloom a évolué d’un petit collectif vers une organisation structurée comptant 50 salariés, tous mobilisés pour protéger la mer et ses habitants des impacts néfastes des grands navires de pêche. Les campagnes menées par l’ONG prennent de l’ampleur, ce qui semble déranger certains intérêts économiques.
Des accusations contre les lobbys de la pêche industrielle
Les dirigeants de Bloom estiment que leurs actions sont à l’origine des tentatives de déstabilisation dont ils sont victimes. Les lobbys de la pêche industrielle, qui voient leurs activités menacées par les efforts de protection de l’environnement, sont soupçonnés de jouer un rôle dans ces pressions. L’ONG cherche donc à faire la lumière sur ces manœuvres, en espérant que la justice saura protéger leur droit d’agir pour la préservation des océans.
Un appel à la mobilisation pour la protection des océans
Les actions de Bloom ne se limitent pas à la défense juridique. L’association continue de sensibiliser le grand public et de mobiliser les citoyens autour de la cause marine. La nécessité de protéger les ressources océaniques est plus que jamais d’actualité, et chaque voix compte dans cette lutte contre les abus de la pêche industrielle.
Alors que l’ONG traverse cette période de turbulence, le soutien de la communauté devient essentiel pour continuer à faire entendre sa voix et à défendre les droits des océans.