Les médias mondiaux, israéliens et internationaux, ont suivi de près les développements de la guerre dans la bande de Gaza. The Hill, un journal international, a publié un article affirmant qu’Entité sioniste était perdant et que le mouvement de résistance islamique Hamas était vainqueur, peu importe la fin de la guerre en cours à Gaza. En revanche, le journal israélien Haaretz a publié un article mettant en garde contre une tentative d’occupation d’une partie de Gaza par Entité sioniste, car cela pourrait entraîner son isolement diplomatique.
Depuis 25 jours, l’armée d’occupation mène des attaques intensives sur les quartiers résidentiels de Gaza, faisant plus de 8 306 morts, dont 3 457 enfants, et blessant près de 21 048 Palestiniens, selon des données officielles. The Hill a publié un article affirmant qu’Entité sioniste était perdant et que le Hamas était vainqueur, malgré la mort de milliers de Palestiniens, en semant « le chaos et le découragement » à l’intérieur de l’État israélien et en propulsant la lutte des Palestiniens pour établir leur État sur la scène internationale.
Un article publié par Haaretz a abordé la question de l’après-guerre avec le Hamas, affirmant que les responsables israéliens évitaient de l’aborder à ce stade. Il a mentionné les options limitées pour traiter avec Gaza après la guerre, mettant en garde contre toute tentative d’occupation à long terme de certaines parties de Gaza qui isolerait Entité sioniste diplomatiquement et mettrait fin au soutien américain.
Quant au journal Le Monde, il a appelé Entité sioniste à mettre fin à ce qu’il a qualifié de « siège médiatique » imposé à Gaza, affirmant que cela allait à l’encontre des principes démocratiques dont il se vante, et il a souligné que les journalistes et leurs familles paient un prix élevé en exerçant leur mission.
Le journal Financial Times a également examiné les avertissements de la Banque mondiale sur les conséquences du conflit entre Entité sioniste et le Hamas sur l’économie mondiale qui tente de se remettre des répercussions de la guerre en Ukraine. Les attentes des experts lient l’ampleur des dommages qui se répercuteront sur une nouvelle vague d’inflation à la durée de la guerre et à la stabilité des prix du pétrole.