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Un corps a été retrouvé sur les berges de la Saône, à Fédry, en Haute-Saône, selon le parquet de Vesoul. La victime serait âgée entre 40 et 60 ans et une enquête pour assassinat a été ouverte. Le cadavre était « sectionné en deux parties, au niveau de la taille », et « recouvert d’une substance blanche », selon les premiers éléments communiqués par les autorités. Il a été découvert samedi après-midi par un pêcheur et portait « une brûlure au niveau du dos, plusieurs plaies sur le crâne, sur une main, au niveau des cervicales et au niveau du tronc », selon L Est Républicain.

À Fédry, Haute-Saône, un corps retrouvé sur les berges de la Saône
Le parquet de Vesoul a ouvert une enquête pour assassinat et a indiqué que le décès semblait récent. La victime est estimée entre 40 et 60 ans et portait un caleçon au moment de la découverte. Le corps présentait des brûlures et des plaies visibles, et il a été retrouvé samedi après-midi par un pêcheur, selon les premiers éléments publiés par L Est Républicain et confirmés par les autorités.
« Le décès semble récent, datant de moins de 24 heures avant la découverte du corps », a précisé le procureur Arnaud Grécourt dans un communiqué.
Éléments d’enquête, autopsie et identité
L’autopsie a été pratiquée lundi; les conclusions n’étaient pas connues dans la soirée et l’identité de la victime restait inconnue à ce stade. Plusieurs investigations ont été engagées pour identifier le corps et établir les circonstances du décès, a indiqué le parquet.
Selon des informations relayées par L Est Républicain, la substance blanche évoquée sur la dépouille serait différente selon les sources; l Est Républicain évoque une substance s’apparentant à de la chaux vive, ce qui souligne des éléments encore indéterminés.
Réactions et contexte local
Des réactions ont émergé sur place; l édile de la commune, Jean Roblet, a indiqué à France 3 qu’il avait alerté les gendarmes après avoir constaté la présence d’un corps humain et qu’il ne s’était pas approché davantage pour préserver les lieux.
« Je peux simplement vous dire qu’a priori, ce serait une cause violente, je ne peux pas vous en dire plus. C’est ce que j’ai constaté moi-même », a ajouté le maire, Jean Roblet.