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L’Olympique de Marseille, qui espérait consolider sa deuxième place en Ligue 1, a été tenu en échec par Strasbourg, dimanche 19 janvier au Stade-Vélodrome, sur le score de 1-1.
Une occasion manquée pour l’OM
Avec les défaites de Monaco, Nice et Lens, ainsi que le match nul de Lyon, l’OM avait l’opportunité de faire une belle opération et de creuser l’écart avec ses rivaux pour la qualification européenne. Cependant, après son élimination en Coupe de France face à Lille, l’équipe n’a pas réussi à s’imposer contre Strasbourg.
Un match à deux visages
Après avoir dominé leur premier affrontement en septembre à la Meinau (1-0), les Strasbourgeois, dirigés par Liam Rosenior, ont continué à compliquer la tâche aux Marseillais. Le match a démarré de manière tactique, l’OM étant handicapé par plusieurs absences (Rongier, Kondogbia, Murillo). La première grosse occasion est survenue suite à une relance risquée de Leonardo Balerdi, contrée par Emanuel Emegha.
L’attaquant néerlandais a ensuite profité d’une passe en profondeur d’Andrey Santos pour ouvrir le score et mettre l’OM en difficulté (1-0, 23e). L’équipe marseillaise, bien que très appliquée, n’a pas été vraiment dangereuse avant la pause.
Marseille a tout tenté en seconde période
Au retour des vestiaires, l’OM s’est ressaisi, surtout grâce à l’entrée du jeune Robinio Vaz. Après deux occasions nettes signées Mason Greenwood (47e) et Luis Henrique, qui a touché le poteau à la 64e, c’est Greenwood qui a obtenu un penalty après un duel avec Andrey Santos.
Greenwood a réussi à transformer le penalty (1-1, 68e), rendant le match plus ouvert et intense. Emegha a ensuite frappé le poteau en contre (72e), tandis que Robinio Vaz a placé une volée au-dessus du but alsacien (79e).
Un match nul qui laisse des espoirs
Dans le dernier quart d’heure, Marseille a tout tenté pour prendre l’avantage, sans succès. Toutefois, la série de l’OM reste favorable, avec cinq victoires et deux nuls depuis leur dernière défaite contre Auxerre. L’OM conserve un matelas confortable sur Lille (3e) et Monaco (4e), avec respectivement cinq et six points d’avance.
De son côté, Strasbourg, bien qu’étant 10e, a montré de belles promesses au Vélodrome, laissant penser qu’ils ont le droit de regarder vers le haut.
