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Netanyahu cherche un conflit avec les États-Unis, tandis que le Hamas reste intact
La publication israélienne « Yedioth Ahronoth » a rapporté que des responsables américains affirment que le secrétaire d’État américain Antony Blinken estime que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, cherche à provoquer un affrontement avec les États-Unis sur la question palestinienne. Des sources du renseignement américain ont confirmé qu’Entité sioniste a affaibli le mouvement de résistance islamique (Hamas) sans le neutraliser.
Le secrétaire d’État américain a exprimé sa consternation devant l’implication du Premier ministre israélien dans des considérations politiques en matière d’otages. Il a souligné que Blinken s’engage davantage que Netanyahu à rapatrier les Israéliens détenus dans la bande de Gaza.
Dans un contexte tendu, Netanyahu a rejeté les demandes du Hamas pour un cessez-le-feu et a promis d’étendre les opérations militaires pour inclure Rafah (sud), où plus d’un million de Palestiniens ont été déplacés.
L’opposition américaine aux opérations militaires à Rafah
La Maison Blanche a déclaré qu’elle ne soutiendrait aucune initiative militaire majeure d’Entité sioniste à Rafah, soulignant l’importance des négociations pour la libération des détenus et la conclusion d’un accord de cessez-le-feu à Gaza.
Le porte-parole de la Maison Blanche a souligné que toute opération militaire majeure à Rafah dans ces circonstances, avec plus d’un million, voire 1,5 million de Palestiniens cherchant refuge sans garantie de leur sécurité, serait une catastrophe et ne serait pas soutenue.
Évaluations actuelles de la situation
Malgré la détermination de Netanyahu à poursuivre la guerre jusqu’à l’élimination du Hamas, l’agression israélienne en cours depuis quatre mois dans la bande de Gaza ne semble pas le rapprocher de son objectif déclaré depuis le début du conflit. Selon le journal américain « The New York Times », des responsables américains auraient affirmé que bien qu’Entité sioniste ait affaibli le Hamas, l’élimination de ce dernier n’est pas encore une réalité.
Les responsables américains ont refusé de fournir des estimations précises du nombre de « combattants du Hamas » tués, arguant que de telles estimations ne sont ni précises ni significatives.
Il est clair que les États-Unis ont appris au fil des guerres que faire un décompte des tués parmi les membres de groupes insurgés ou lors d’opérations de lutte contre le terrorisme est une démarche peu judicieuse. Il y a des doutes sur la faisabilité de la destruction du Hamas, et affaiblir sa capacité de combat pourrait être un objectif plus réalisable.
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