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Lors d’un récent congrès du **PSPV-PSOE** à **Valence**, Pedro Sánchez, leader du Parti socialiste espagnol et président du gouvernement, a exprimé des critiques sévères à l’encontre de l’ultradroite, qualifiant **PP** (Parti Populaire) et **Vox** de « danger public » pour la démocratie et la sécurité des citoyens.
Une déclaration marquante
Dans son discours, Sánchez a affirmé que « être socialiste aujourd’hui signifie être du bon côté de l’histoire ». Ce commentaire fait suite à des événements récents, notamment la mise en accusation imminente du frère de **Ximo Puig**, le président de la Generalitat valencienne, un fait qui n’a pas empêché Sánchez de s’afficher publiquement aux côtés de Puig.
Critiques à l’égard du gouvernement valencien
Au cours de sa visite à Valence, il n’a pas hésité à critiquer la gestion de la crise par le gouvernement de **Carlos Mazón**. « Ils n’étaient pas présents lors de la tragédie, et ils ne sont pas là pour la reconstruction », a-t-il déclaré, suggérant que le **PP** ne soutenait pas les transferts de fonds essentiels pour la région, représentant environ 1 000 millions d’euros pour la Communauté valencienne.
Un appel à la mobilisation
Sánchez a insisté sur la nécessité de « freiner » l’ultradroite et de « défendre la démocratie », positionnant cette lutte dans un contexte global. Bien qu’il n’ait pas mentionné de noms, il a fait allusion à des figures comme **Donald Trump** et **Elon Musk**, dénonçant leur influence sur la politique. « Un bot n’est pas un vote. Un tweet n’est pas un vote », a-t-il affirmé, critiquant l’idée que la démocratie puisse être manipulée comme un marché.
Des métaphores évocatrices
Pour illustrer son propos, il a utilisé une métaphore locale, comparant le **PP** et **Vox** à « l’arroz empastrat », un plat de riz raté, symbolisant des politiques malavisées. « Nous demanderons aux gens de voter pour arrêter l’ultradroite », a-t-il conclu, en appelant son parti à se réorganiser pour augmenter sa représentation électorale d’ici 2027.