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Gabby Amato, originaire de Marlboro (Massachusetts), illustre le karaté, championne, Massachusetts, compétition mondiale : pratiquante depuis l’enfance, elle a décroché le titre mondial après un parcours soutenu par sa famille et son dojo familial.
Karaté : une championne du Massachusetts à la compétition mondiale
Gabby Amato a commencé le karaté à l’âge de 4 ans et s’est rapidement investie dans ce sport. « I love the community, » a dit Gabby. « I love being with my friends, training with my friends. » Trois soirs par semaine, elle s’entraîne au dojo familial, où se mêlent exercices de base et techniques avancées.
Un sport au cœur de la famille
La pratique du karaté est une affaire de famille pour les Amato. Le père de Gabby, Christopher Amato, a ouvert le Bushi Karate Club à Oxford et y officie comme sensei. « It’s been one of the best pleasures of my life to be able to pass on what I’ve learned, » a déclaré Christopher Amato. La mère, Leah Amato, est également sensei et entraîneuse, et a suivi sa fille lors des compétitions.
La victoire en Floride et le titre mondial en Suède
Gabby s’est d’abord qualifiée pour les championnats nationaux, puis pour la compétition mondiale en Suède. Elle n’a disposé que de cinq semaines pour apprendre une forme de niveau international. Leah Amato relate le parcours technique : « The form that she won in Florida with, Kaatin no Kun, she also took then to worlds and took first place there as well, » a-t-elle dit, soulignant la continuité entre la victoire en Floride et le succès en Suède.
Soutien et préparation ont été constants : Leah était dans la foule en Suède pour encourager sa fille, après des semaines de répétitions intensives. « I just got to go as mom, which was a first for me, » a raconté Leah Amato. « She was just determined that she was going to do this one, so we were in the backyard for hours working over and over. »
Entraînement, conditionnement et persévérance
Gabby consacre de nombreuses heures à l’entraînement. Outre les soirées au dojo, sa mère précise : « She comes here, she does her training and she’s here three nights a week, » et ajoute qu’elle suit aussi un coach de renforcement du tronc et continue à pratiquer chez elle : « But she’s also going to a core conditioning coach, she’s also practicing at home. »
Pour Gabby, l’engagement personnel est central. « Training is, like, one of my favorite things to do all day. If I could be here all day, I would, » a dit l’athlète, qui met l’accent sur la routine et la répétition. Elle insiste également sur l’effort mental nécessaire : « It’s about persevering and pushing through even when you want to give up, » a-t-elle ajouté.
Le parcours de Gabby combine un apprentissage précoce, un encadrement familial et une préparation ciblée pour des formes de haut niveau. Sa réussite en Suède témoigne de la capacité d’un athlète à franchir les étapes locales, régionales et nationales pour atteindre la scène internationale, selon les mots de son père : « It’s a very big deal because every sport has their pyramid that they try to climb, whether it’s local to regional to national, » a déclaré Christopher Amato. « Many of us, sometimes, just would love to see our kids compete in a bigger arena. »