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Charlotte Gainsbourg a récemment partagé ses pensées et ses émotions lors d’une interview avec les journalistes du « Papotin », diffusée ce samedi sur France 2. Un échange authentique et touchant qui a permis à la comédienne et chanteuse de 53 ans de se dévoiler sans artifice.
Un moment de franchise
Les rencontres du Papotin sont réputées pour leur capacité à briser les barrières entre les célébrités et le public. Charlotte Gainsbourg, avec sa voix douce et son regard intense, a joué le jeu des questions avec une sincérité désarmante. Face à Berivan, qui lui demande si elle sait bien chanter, elle répond humblement qu’elle ne sait pas, mais qu’elle a appris à transformer ses défauts en qualités.
Des souvenirs d’enfance
Les journalistes n’hésitent pas à lui poser des questions personnelles. Gaspard lui demande si elle aimait chanter lorsqu’elle était petite. Elle évoque avec tendresse le souvenir de chanter « Lemon Incest » avec son père, Serge Gainsbourg, tout en exprimant le souhait de faire mieux sur son premier album en raison de sa voix qu’elle qualifie de « trop sérieuse ».
Une vie sous l’ombre des géants
Charlotte admet la difficulté de se mesurer à des parents aussi talentueux. « C’était dur », confie-t-elle, parlant de la pression d’avoir un père aussi célèbre et une mère, Jane Birkin, tout aussi talentueuse. Elle se sentait souvent sur un piédestal, en constante comparaison.
Elle partage également des anecdotes marquantes, comme celle de sa première expérience cinématographique traumatisante avec « Les dents de la mer », un film qu’elle a vu à l’âge de 4 ans, ou encore le souvenir d’avoir eu un garde du corps imposé par son père, ce qui lui semblait à la fois embarrassant et excitant.
Avis sur la beauté et la carrière
Lors d’une question directe de Marvin sur sa perception de sa beauté, Charlotte révèle ses complexes d’adolescente. « Je n’ai jamais réussi à faire la paix avec mon visage », avoue-t-elle, confiant que vieillir n’est pas facile, surtout avec une mère aussi belle.
Un départ pour retrouver son équilibre
Interrogée sur son départ pour New York, elle explique que c’était une nécessité après la perte de sa sœur Kate. « J’avais l’impression qu’il fallait que je sauve ma peau », dit-elle, révélant la culpabilité qu’elle ressentait de laisser sa mère malade derrière elle. Son séjour de six ans lui a permis de se ressourcer tout en gardant sa famille en tête.
Une réconciliation tardive
Charlotte a aussi évoqué la distance qu’elle a ressentie avec sa mère au fil des ans. « On avait été distantes malgré nous », concède-t-elle. La réalisation que sa mère était malade a été un catalyseur pour renouer des liens, renforçant leur relation avant la disparition de Jane Birkin.