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C’est une nouvelle qui secoue l’univers de Kaamelott. Alors qu’Alexandre Astier vient d’annoncer les dates de sortie du deuxième volet de la saga, les fans ont découvert que Franck Pitiot, alias Perceval, ne figure pas au casting. Personnage adoré depuis les débuts de la série, célèbre pour ses répliques devenues cultes comme « C’est pas faux », il brillera par son absence dans les deux parties du film à venir, d’autant plus que son complice Karadoc, interprété par Jean-Christophe Hembert, sera lui bien présent.
Dates de sortie du deuxième volet
Le deuxième volet de Kaamelott se déclinera en deux parties : la première sortira le 22 octobre 2025, la seconde le 11 novembre 2026. Si les raisons de l’absence de Franck Pitiot ne sont pas détaillées, il est confirmé que l’acteur **n’a pas souhaité participer** au tournage. Ce retrait n’est pas définitif pour autant : le personnage de Perceval, impliqué dans la quête du Graal, pourrait très bien faire son retour dans la suite de la trilogie.
Un casting élargi et prometteur
Pour compenser cette absence notable, Alexandre Astier mise sur un casting XXL, mêlant visages familiers et nouvelles recrues. Simon Astier, demi-frère d’Alexandre et interprète d’Yvain, sera de retour dans la seconde partie, après avoir été absent du premier volet. On retrouvera également :
- Audrey Fleurot (la Dame du Lac)
- Alain Chabat (le Duc d’Aquitaine)
- Guillaume Gallienne (Alzagar)
- Christian Clavier (le Jurisconsulte)
- Franck Dubosc (Alfarn)
- Thomas VDB (Goffanan)
- Antoine de Caunes (Dagonet)
Alexandre Astier décrit ce deuxième volet comme une fresque ambitieuse, dans laquelle Arthur envoie ses chevaliers aux quatre coins du monde. Il précise : « Le deuxième volet de Kaamelott est le chapitre où Arthur envoie ses chevaliers — vétérans ou novices, compagnons de longue date ou recrues de l’année — à l’Aventure. »
Une production soigneusement élaborée
Tourné d’un seul bloc pendant huit mois, ce diptyque n’aura aucune ellipse temporelle. Les deux parties seront conçues comme un film unique, « comme un gros bouquin coupé en deux, un long spectacle avec entracte ».
Une saga qui évolue avec le temps
Pour Astier, cette saga s’adapte au temps qui passe, au gré des départs et des retours : « La saga a, pour ma part, commencé avec l’écriture du court-métrage Dies Iræ, en 2001. Bientôt 25 ans. Kaamelott reflète toujours ce que j’ai envie de raconter au moment où j’en écris une nouvelle page. »
Il ajoute que chaque contrainte est l’occasion d’un renouveau créatif : « Le Destin — allez, je lui mets une majuscule — est très présent dans la confection d’une saga. Sans doute parce qu’une saga est une vie à peine miniature. Il faut savoir l’écouter ! » Reste à espérer que le destin ramènera bientôt Perceval à la Table Ronde.