Table of Contents
Un nouveau départ avec le mois de janvier
Nouvelle année, bonnes résolutions… Le mois de janvier représente un nouveau départ rempli d’objectifs, comme celui de réduire sa consommation d’alcool avec le Dry January. Pourtant, il serait également synonyme d’épuisement physique, psychologique, mais aussi professionnel, un phénomène souvent nommé burn-out.
Les résolutions : des bonnes intentions à la pression
Selon la psychologue Christèle Albaret, janvier est une période propice à certains déséquilibres. Après une année épuisante et des fêtes souvent chargées, les nouvelles résolutions peuvent générer une pression énorme. Les attentes sociétales liées à ces résolutions exacerbent le stress, ce qui peut conduire à un sentiment d’échec lorsque les objectifs ne sont pas atteints.
Pérenniser la pression et le stress professionnels
Janvier est également le mois des bilans. Cela nous pousse à nous poser de nombreuses questions sur nous-mêmes. La pression liée aux résolutions s’ajoute à celle des objectifs professionnels, pouvant entraîner un risque accru de surmenage et de burn-out.
Les signaux d’alerte du burn-out
Les symptômes du burn-out peuvent être divers et variés. Il est crucial de rester attentif aux signaux comme des troubles émotionnels, un manque de motivation, ou des signes de fatigue intense. Une prise en charge professionnelle est essentielle pour prévenir l’évolution vers des comportements addictifs, qu’il s’agisse d’alcool, de tabac ou d’autres substances.
L’impact du manque de lumière sur la santé
Le mois de janvier, et plus généralement la période hivernale, favorise également la dépression saisonnière, due à un manque de lumière. La baisse de sérotonine a un impact direct sur l’humeur et l’énergie, mettant en exergue l’importance de prêter attention à son bien-être mental durant cette période.