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Dans une interview révélatrice, José Fernando a partagé des réflexions intimes sur sa vie après la perte de sa mère, la célèbre artiste Rocío Jurado. Le jeune homme a confié que cette tragédie a profondément marqué son existence.
Souvenirs d’une mère aimante
José Fernando a déclaré : « Tous les souvenirs que j’ai de ma mère sont beaux« . Il se remémore avec tendresse les moments passés ensemble, insistant sur le fait qu’elle était toujours attentive à lui. « Elle aimait me voir jouer et m’aider avec mes devoirs. Elle n’aimait pas me voir trop sérieux », a-t-il ajouté.
Concernant ses derniers instants avec Rocío, il se souvient : « Lorsque je me suis dit au revoir, je lui ai dit : ‘Maman, bientôt c’est mon anniversaire et j’espère que tu seras là pour le célébrer ensemble’. Elle m’avait promis qu’elle se remettrait, mais cela n’a pas pu se réaliser. »
Une relation fraternelle compliquée
En parlant de sa sœur, Rocío Carrasco, José Fernando a exprimé son désir qu’elle fasse la connaissance de sa fille. « Elle a décidé de s’éloigner de nous, et j’aimerais que tout redevienne comme avant, mais je pense que c’est impossible », a-t-il déclaré, montrant ainsi une certaine tristesse face à cette situation familiale.
Un homme au cœur d’enfant
Sur son état actuel, il révèle : « Je me sens un homme à l’extérieur, mais un enfant à l’intérieur« . Son souhait pour l’avenir est clair : « J’aimerais avoir ma propre maison pour vivre avec ma fille et un travail stable ». Il considère sa fille comme « la chose la plus importante » de sa vie et souligne qu’elle est un grand soutien pour lui.
De plus, il reconnaît que son père, Ortega Cano, est « le pilier fondamental » de sa vie.
Un passage difficile par la prison
José Fernando n’hésite pas à parler de son expérience en prison, la qualifiant de « très dure« . Bien que ce ne fût que cinq mois, il a ressenti cette période comme une éternité, la vivant dans une profonde tristesse.