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Des violences lors du match Reims-Laval en Ligue 2 ont éclaté en marge de la rencontre et ont laissé cinq policiers blessés par des tirs de mortier. Un homme de 36 ans a été placé en garde à vue, selon les informations du parquet de Reims. Le procureur François Schneider précise que les échauffourées violentes ont éclaté après « des tensions en fin de match » et que quinze plaintes ont été déposées. Des syndicats policiers évoquent des blessures graves et des brûlures sur le visage et les tympans, alimentant une nouvelle alerte sur la sécurité lors des rencontres de football.
Un homme de 36 ans placé en garde à vue après les tirs de mortier
Selon le procureur de Reims, François Schneider, l’homme de 36 ans a été placé en garde à vue « pour des tirs de mortier sur les policiers » en marge de la rencontre remportée 4-0 par Reims. Les autorités décrivent des échauffourées qui ont éclaté après « des tensions en fin de match » et qui ont blessé cinq policiers, dont l’un aurait les deux tympans perforés. Quinze plaintes ont été déposées, selon le parquet. Le syndicat Alliance police nationale Grand Est évoque sur Facebook deux policiers blessés « grièvement », tandis qu’Un1té assure qu’un policier souffre de « brûlures importantes au niveau du visage/crâne et des symptômes d’acouphènes ».
Quinze plaintes déposées et réactions des syndicats
Quinze plaintes ont été déposées après ces incidents, selon le parquet de Reims. Alliance police nationale Grand Est affirme sur Facebook que deux policiers ont été blessés « grièvement », tandis qu’Un1té assure qu’un policier souffre de « brûlures importantes au niveau du visage/crâne et des symptômes d’acouphènes ». Ces éléments renseignent sur les dommages et les témoignages qui circulent dans les communications des représentants du personnel et dans l’enquête.
Éléments en suspens et suites judiciaires
À ce stade, l’enquête est en cours et doit établir les circonstances exactes des faits et l’identité des auteurs. Le parquet rappelle les faits et les chiffres, tandis que des divergences subsistent entre les déclarations des syndicats et les éléments de l’enquête, notamment sur l’étendue des blessures et les responsabilités. La garde à vue de l’homme de 36 ans et les quinze plaintes déposées démontrent une procédure active et une attention médiatique autour de ce type d’événement dans le football.