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Un nouveau-né a été retrouvé mort ce lundi dans un centre de tri des déchets à Plouédern, dans le Finistère. Le corps du nourrisson a été découvert sur le tapis roulant du centre TriGlaz et la gendarmerie s’est rendue sur place. Le site qui traite les déchets du nord-Finistère a été mis à l’arrêt « pour la journée » et une cellule psychologique a été mise en place pour les salariés, selon Fabrice Jacob, président de Sotraval et maire de Guipavas.
À Plouédern, un bébé retrouvé mort sur le tapis de tri
La macabre découverte a été faite par des salariés du centre de tri de déchets TriGlaz. Le corps sans vie du nourrisson se trouvait sur l’un des tapis roulants de tri des emballages ménagers. La gendarmerie s’est rendue sur place et l’identification criminelle est arrivée peu avant midi.
Le site a été arrêté « pour la journée » et une cellule psychologique a été mise en place pour les salariés, selon Fabrice Jacob, président de Sotraval et maire de Guipavas.
Investigation en cours et provenance potentielle
Selon les informations du Télégramme, le corps proviendrait du pays de Morlaix ou du Morbihan. Des camions en provenance de Morlaix et du Morbihan ont déchargé sur cette ligne ce matin, et les enquêteurs cherchent des éléments (enveloppes ou papiers) qui pourraient renseigner l’origine de l’enfant.
Selon les services de Brest Métropole, les camions qui ont déchargé sur cette ligne ce matin venaient de Morlaix et du Morbihan.
Réactions et organisation interne
Fabrice Jacob, président de Sotraval, a précisé que le site était arrêté « pour la journée » et qu’une cellule psychologique était mise en place pour les salariés. La gendarmerie est actuellement présente sur notre site et procède à des investigations pour en apprendre plus (sur la provenance et l’âge de l’enfant), selon Ronan Pichon, président du conseil d’administration de la SEML Sotraval.
Selon Ronan Pichon, « Il faudra remonter les tournées des camions ». « Notre opérateur à l’origine de la découverte est en état de choc. Il s’agit d’une expérience particulièrement traumatisante », nous confie Ronan Pichon, président du conseil d’administration de la Société publique locale. L’identification criminelle est arrivée sur place peu avant midi.